La cité basque n'est pas seulement un haut lieu du surf, mais aussi la terre d'accueil de nombreux artistes. La 9e Biennale d'art les met à l'honneur, dedans comme dehors.
"« Ma e pignada per m'ayda » (littéralement : « La mer et la forêt pour m'aider ») : telle est la devise d'Anglet, à la fois aquatique et forestière. L'océan et la pinède, en plein cœur de la ville, étendue en forme d'angle. C'est ainsi que se dévoile Anglet, l'ancien grenier de la côte basque, dont les terres maraîchères alimentaient Bayonne et Biarritz jusqu'aux années 1850. Son sort va changer, lorsque Napoléon III et l'impératrice Eugénie, en villégiature à Biarritz, se prennent d'affection pour la plage de la Chambre d'Amour d'Anglet. L'arrivée du BAB (Bayonne-Anglet-Biarritz), le tram de la côte - aujourd'hui remplacé par le Trambus -, rend accessible la cité basque et favorise son développement balnéaire. Ici, pas véritablement de centre-ville, mais des quartiers vivants : Saint-Jean, les Cinq Cantons, Chiberta, la Chambre d'Amour… autant de lieux de promenade pour les Angloys, qui les parcourent à pied ou à vélo. Si le surf et les vagues font toujours la réputation d'Anglet sur ses 4,5 km de plage de sable, l'art contemporain parade aussi."
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