
Sur le stand des Pays de Loire, la société Bird-E Marine exposait en avant-première fois le prototype du Lupo, un engin incroyable à mi-chemin entre un jet, un scooter et un canot automobile des années soixante. Pour le coup, la machine n’est pas passée inaperçue. Construite entièrement en carbone, cette machine au look neo-rétro dispose d’une motorisation de 4,5 kW capable de dépasser les 50 km/h en vitesse maximum.
A proximité du guidon, on trouve également un tableau de bord électronique offrant de nombreuses informations techniques comme l’autonomie, la vitesse, la hauteur entre le plan d’eau et l’engin ou encore le degré d’inclinaison de la machine. Notez également que le bloc hors-bord électrique se rabat vers l’avant pour laisser place à une assise plus grande, dans le but de pouvoir embarquer un passager. C’est bien vu !
Autre particularité du Lupo (le loup en italien) : la présence de foils qui permettra de réduire les frottements sur l’eau, baisser sa consommation en énergie, améliorer sa vitesse et bien sûr son autonomie. Avant les tests officiels, celle-ci est évaluée à 3-4 heures, à une vitesse de 30 nœuds.

Une série limitée à 250 exemplaires
Homologué comme « hydroptère », le Lupo existera en deux versions : l’une pour les loueurs en matériaux classiques et l’autre en version carbone, entièrement personnalisable et en série limitée soit 250 exemplaires à travers le monde » explique Franck Thomas, le créateur du Lupo et co-fondateur de la société Bird-E Marine. Dans sa version luxe, le prix du Lupo est estimé à environ 70 000 euros. Lancement officiel : le 1er avril prochain !
