Evasion le temps d'un week-end à la Baule : suivez le guide
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"Né Escoublac au IXe siècle, englouti deux fois sous les dunes, pour contrer sans doute le sort, le village se déplace de quelques mètres et prend au XVe siècle, le nom de « Bôle », rivage marécageux en patois, c'est dire ses attraits. En 1896, nouveau changement d'identité, alors que débarquent par le train les premiers estivants, Bôle, devient La Baule avant, en 1962, de renouer avec ses origines sous le double patronyme La Baule-Escoublac. Ouf !
Et la Baule-les-Pins alors, titre du film teinté de nostalgie années cinquante, de Diane Kurys tourné en 1989 avec Jean-Pierre Bacri et Nathalie Baye au générique ? Juste un quartier mais pas n'importe lequel ! En achetant puis lotissant en 1921 des hectares de terres vierges aux alentours du Bois d'Amour, Louis Lajarrige, homme politique et investisseur avisé lance le très chic et très prisé secteur de La Baule-les-Pins, légèrement en retrait du littoral.
Aujourd'hui La Baule offre deux visages, celui du Remblai, promenade longeant la mer, colonisée par des rangées d'immeubles, construits lors des cinquante dernières années, Le Panorama, la Tour Saint Clair, les Vagues de Pierre Doucet, évoquant une succession de déferlantes, et celui des quartiers aux incroyables villas de tous styles et de toutes époques du Bois d'Amour. Un grand écart entre l'ancien et le moderne réservant aux curieux de très belles surprises." La suite à lire sur Le Figaro.fr.
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