" Des professionnels craignent pour leur activité si les touristes des croisières ne font plus escale à Villefranche-sur-Mer. L’arrêté d’interdiction va être contesté en justice.
Des restaurateurs, des commerçants, des hôteliers, des chauffeurs de taxis, des dockers et des responsables de l’Union maritime se sont réunis, jeudi en fin d’après-midi à Villefranche-sur-Mer (Alpes-Maritimes), pour contester l’interdiction des gros bateaux de croisières décidée soudainement par le maire de Nice et président de la métropole, Christian Estrosi, la semaine dernière. Ces professionnels craignent pour leur activité, alors que les escales de ces paquebots touristiques génèrent selon eux des retombées estimées entre 10 et 15 millions d’euros. " Continuez votre lecture sur LeFigaro.fr