
Une transat mixte et engagéeDepuis 2023, la Transat Paprec s’affirme comme une pionnière. Première transat à armes égales et en duo mixte exclusivement, elle continue d’insuffler une nouvelle dynamique dans la course au large. Le pari était audacieux, il est aujourd’hui largement relevé. « En 2023, le pari était osé, on sait que la mixité a pu être un frein. Aujourd’hui on est très heureux de célébrer la qualité de ce plateau sportif mais également sa densité, le contrat est rempli », se félicite Julie Coutts, Directrice Générale d’OC Sport Pen Duick.De 11 équipages lors de la première édition, on passe à 19 cette année, représentant cinq nationalités. L’esprit d’ouverture souffle fort sur cette transat où se croisent marins aguerris et jeunes talents. Certains comme Martin Le Pape, Corentin Horeau ou Quentin Vlamynck apportent leur expérience des plus grandes classes (IMOCA, Ultim, Ocean Fifty…), tandis que d’autres découvrent encore les subtilités du Figaro Beneteau 3, à l’image d’Aglaé Ribon ou du duo italo-breton Pier-Paolo Dean / Tiphaine Rideau.
Un tremplin pour les navigatricesFer de lance de la mixité, la Transat Paprec est aussi un formidable révélateur de talents féminins. « Nous souhaitons susciter des vocations. Notre volonté est de contribuer à développer cette filière et notamment d’assurer son accessibilité à tous et à toutes », souligne Sébastien Petithuguenin, Directeur Général de Paprec. Le groupe sponsor titre ne cache pas son ambition : voir émerger les futures grandes championnes de la course au large.Et le parcours s’y prête : tactique dans le golfe de Gascogne, stratégique le long du Portugal, puis ultra-rapide dans les Alizés. « Chez Paprec, nous avons la certitude que demain nous verrons des femmes sur les podiums des plus grandes courses au large et que la Transat Paprec y aura contribué ! »
Un village, une fête, une région mobiliséeDès le 15 avril, Concarneau vivra au rythme de la course avec l’ouverture du village, le prologue du Challenge Alex Picot, et une semaine d’animations intenses. « Concarneau est une fois de plus le point de départ d'une aventure humaine et sportive d'exception », se réjouit Marc Bigot, maire de la ville. Trois nocturnes, des stands, de la musique, des conférences : les festivités promettent d’être à la hauteur de l’événement.La Région Bretagne, grande terre de voile, n’est pas en reste. « L’égalité femme-homme dans la course au large, la Région Bretagne s’en est saisie dès 2019 », rappelle son président Loïg Chesnais-Girard. La dynamique est lancée, et tout le tissu local s’active. Pour Jean-François Garrec, de la CCI Finistère, « la Transat Paprec est l’une de ces opérations à fortes retombées médiatiques qui renforcent l’image et la visibilité de notre territoire ».

L’arrivée à Saint-Barth, entre rêve et adrénalineL’arrivée s’annonce elle aussi mémorable. À Saint-Barthélemy, la collectivité est mobilisée pour accueillir les premiers le 7 ou 8 mai. « Nous avons la conviction que l'événement sera à la hauteur de ces investissements pour que l'image de notre île puisse encore une fois rayonner », affirme Xavier Lédée, président du Conseil Territorial. De quoi garantir un final haut en couleurs, dans une ambiance aussi festive qu’inoubliable.
Des partenaires engagésOutre Paprec, d'autres partenaires renforcent la stature de l’événement. Seiko entre dans la course en tant que chronométreur officiel. « Seiko a une longue histoire d'implication dans l'univers marin… Ce partenariat reflète notre engagement envers le monde maritime et la performance », explique Charles Blétry, COO France & Italie. La marque apporte son savoir-faire horloger et son goût pour les défis extrêmes avec sa collection Prospex, taillée pour l’aventure.Corsair, fidèle au rendez-vous depuis 2021, renouvelle également son soutien. « Cette course porte des valeurs chères à Corsair », déclare Pascal de Izaguirre, PDG de la compagnie. Un engagement cohérent avec les destinations desservies par la compagnie, dont plusieurs dans les Caraïbes.
Cap sur l’Atlantique, cap sur l’avenir : la Transat Paprec, en quelques chiffres, c’est 19 duos mixtes, 5 nationalités, 1 400 milles de défi, et une seule ambition commune — écrire une nouvelle page de la course au large.Rendez-vous à Concarneau dès le 15 avril… et bon vent aux duos !