Alors que le Class40 Crosscall est amarré au cœur de la ville du Havre, dans le bassin Paul Vatine, depuis quelques jours déjà, Aurélien Ducroz et Vincent Riou sont également à poste en Normandie où ils vont désormais patienter jusqu’au dimanche 29 octobre, date de coup d’envoi de la 16e édition de la célèbre Transat Jacques Vabre. Si à eux deux, ils ne cumulent pas moins de douze participations à l’épreuve (quatre pour le premier et huit pour le second), ils ne minimisent pas l’exercice qui les attend, bien au contraire. Mieux que personne, ils savent que les pièges qui les attendent sont nombreux, mais aussi que la concurrence ne lâchera rien sur les 4 600 milles du parcours à destination de Fort-de-France, via l’île de Sal. Leur état d’esprit ? A la fois tourné sur la maîtrise et sur la gagne !
« Le convoyage jusqu’au Havre, qui s’est avéré tonique, avec jusqu’à 30 nœuds de vent, nous a permis de valider les dernières choses. De nous assurer que tout était bien en place. A présent, nous avons hâte de rentrer dans le concret ! », se réjouit Aurélien Ducroz. « A date, clairement, se demander si on est prêts n’est plus un sujet. Cette saison, bien que nous agendas respectifs ne se soient pas toujours croisés, nous avons toutefois beaucoup navigué, plus en course qu’en entraînement d’ailleurs. Nous avons eu suffisamment de temps pour arriver au Havre avec le sentiment d’être bien préparé sportivement même si, parallèlement, nous avons aussi pu voir que le niveau technique des bateaux, et de la concurrence d’une manière générale, ne cesse de monter », confirme Vincent Riou. De fait, sur les 44 duos engagés dans la catégorie des Class40 de cette 16e édition de la Transat Jacques Vabre Normandie – Le Havre, près de la moitié peut légitimement prétendre au podium. « D’un côté, c’est hyper enthousiasmant et de l’autre, on sait que la moindre petite erreur va se payer cash », prévient le Finistérien. Un contexte qui n’a évidemment pas échappé au skipper-skieur. « Ce qui est dingue, c’est que depuis la mise à l’eau de Crosscall en juin 2021, quarante nouveaux Class40 ont été construits ! Jamais le niveau de la flotte n’a été aussi relevé et homogène. Cela promet une course intéressante, palpitante, même, mais aussi une compétition difficile pour les nerfs car jusqu’à la fin, rien ne sera jamais joué ! ». On l’a d’ailleurs bien vu sur les épreuves d’avant-saison, lorsque les écarts sur la ligne d’arrivée ne se comptent pas en minutes, ils se comptent en secondes. En fonction des conditions ou des allures, chacun compte ses propres atouts. Reste qu’au-delà de faire les bons choix stratégiques et d’être rapide, le fait de parvenir à mettre constamment du rythme sera assurément l’une des clés pour se démarquer.
DES ATOUTS DE TAILLE DANS LEUR JEU
« Nous sommes loin d’être les moins bien armés pour faire un résultat. Reste à réussir à saisir notre chance et à être pertinents aux bons moments. Nous sommes déterminés à mettre toute notre énergie dans la bagarre pour rivaliser avec les meilleurs », annonce Vincent Riou, déjà double vainqueur de l’épreuve en IMOCA en 2013 puis en 2015 au côté de Jean Le Cam puis de Sébastien Col. Les principaux points forts du duo ? Une machine puissance et rapide, encore largement optimisée puis fiabilisée ces derniers mois, mais aussi un cumul d’expérience loin d’être neutre. Pour preuve, à eux deux, les co-skippers de Crosscall comptabilisent un total de douze participations. Huit pour le premier entre 1993 puis 2017, et quatre pour le deuxième entre 2013 puis 2021. « Quand je pense que je m’aligne cette année au départ de cette fameuse Transat Jacques Vabre pour la cinquième fois, ça me paraît presque fou. Ça me fait franchement bizarre de réaliser que j’ai davantage de fois pris part à l’épreuve que gravit le Mont Blanc ! », note Aurélien, double champion du Monde de ski freeeride, qui a incontestablement parcouru un sacré chemin ces dix dernières années, et, dans le même temps, nettement élevé son niveau de jeu. « C’est la première fois que je me sens aussi bien préparé et aussi prêt à l’aube de cette Route du Café. D’ici au départ, il ne reste que de micros-détails à peaufiner à bord du bateau. Je suis, de ce fait, hyper serein et d’ores et déjà concentré uniquement sur la course », termine Aurélien Ducroz qui, pour mémoire, quittera la baie de Seine pour rallier la Martinique le dimanche 29 octobre, à 13h41.
UN CLASS40 CONNECTÉ POUR LA ROUTE DU CAFÉ
Crosscall continue de mettre sa technologie au cœur de l’électronique présent à bord. Ultra-résistants et étanches, les produits Crosscall démontrent leurs performances dans les environnements les plus hostiles et leur fiabilité face aux imprévus qui sont nombreux dans la course au large.
Aurélien Ducroz embarquera le tout nouveau smartphone Crosscall, le STELLAR-X5. Cette toute nouvelle gamme du constructeur français allie design, technicité et durabilité. Elle se positionne comme une alternative nouvelle dans la téléphonie et se destine à tous les utilisateurs souhaitant adopter une démarche technologique plus responsable. Le STELLAR-X5 offre une résistance accrue dans toutes les situations qu’Aurélien pourra rencontrer. En plus de la norme MIL-STID-801H, le smartphone a subi de nombreux tests pour s’assurer de sa résistance aux chutes répétées de 1,5 mètres de haut ainsi que des tests de flexions, exercés à une pression de 500 newtons. Sous la pluie ou même dans l’eau, Aurélien pourra s’en servir dans de nombreuses situations. Aurélien pourra crée du contenu immersif et partager ses aventures en haute résolution, sans craindre la pluie ou l’eau de mer.
« Le STELLAR-X5 procure un vrai confort d’utilisation au quotidien, je l’utilise aussi bien à bord du bateau que dans ma vie personnelle. Son autonomie de longue durée, sa compatibilité au réseau 5G et ses nombreux avantages dont la technologie de réduction de bruit sont autant de fonctionnalités nécessaires pour mes usages. Je pourrai produire plus de contenus tout au long de cette transatlantique ! » AURELIEN DUCROZ, Skipper Crosscall.
Aurélien pourra également se servir de sa tablette Crosscall la CORE-T5 comme écran déporté à bord du Class40 Crosscall. Véritable gain d’efficacité, Aurélien pourra lire depuis son cockpit et en temps réel l’ensemble des informations délivrées par les instruments de bord.