Détectée en 2022, une singularité «très localisée» de rayonnement radioactif a fait l’objet d’une étude de l’autorité de sûreté nucléaire.
L’anomalie a été détectée il y a trois ans, sur l’une des plages de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique). Autour de la crique de Trébézy, des sections de sable de couleur noire à lie-de-vin, prélevées par une association de défense de l’environnement puis examinées par la Commission de recherche et d’information indépendantes sur la radioactivité (CRIIRAD), s’étaient avérées être dix fois plus radioactives que la norme locale. Une «singularité radiologique» sur laquelle s’est penchée l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR), qui a rendu, le 13 octobre, les conclusions d’une étude sur l’origine et les risques éventuels de l’anomalie. Continuez votre lecture sur LeFigaro.fr
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