Avec sa plage, ses planches, son hippodrome, son casino, ses commerces luxueux, Deauville est entièrement tournée vers les loisirs et attachée à son élégance. Un rôle qu'elle tient sans discontinuité depuis près de 150 ans, attirant ainsi les plus grandes stars internationales, notamment le Tout-Paris.
À Trouville, l'établissement fait aujourd'hui partie de l'histoire de la ville. On s'y rend pour l'ambiance et la fréquentation.
Tél. : 02 31 88 15 24
L'établissement de Frédéric Lesieur est l'une des meilleures adresses gastronomiques de la ville. Cuisine traditionnelle très haut de gamme.
Tél. : 02 31 88 24 40
Sur les planches, face à la mer, Ciro's Barrière propose des plateaux de fruits de mer et un grand choix de poissons travaillés dans le respect du goût naturel.
Tél. : 02 31 14 31 14
Les 75 hectares de l'hippodrome de Deauville - La Touques accueillent des courses de galop, dont de prestigieuses courses internationales au cours du mois d'août.
Tél. : 02 31 14 20 00
Un univers délicat hérité des Années folles (1924), composé par des atriums, une fontaine, un bassin, des galeries et de nombreuses cabines à louer le temps d'un séjour ou d'une baignade.
Tél. : 02 31 14 02 16
Assister en août à la vente de yearlings, l'élite des pur-sang anglais. Conseillé aux professionnels et passionnés du monde entier.
Venir taper la balle sur la terre battue en bordure de mer a un charme typiquement deauvillois.
Tél. : 02 31 14 02 18
Situé sur le Mont Canisy, à quelques minutes du centre-ville, le Golf Barrière domine Deauville.
Tél. : 02 31 14 24 24
Les Planches est sans aucun doute la boîte de nuit la plus select de Normandie. Depuis son ouverture en 1985, les plus grands DJs mondiaux y font danser la jeunesse dorée parisienne.
Tél. : 02 31 87 58 09
Vincent Delerm, Deauville sans Trintignant, 2002. Le chanteur français intègre à son texte un monologue de Jean-Louis Trintignant, extrait du film Un homme et une femme.
Paul Misraki, Les Parisiens, 1962. Titre de la bande originale du film de Francis Rigaud avec Louis de Funès et Michel Serrault, Nous irons à Deauville.
Un homme et une femme (1966) de Claude Lelouch avec Anouk Aimée et Jean-Louis Trintignant. Le film emblématique a une suite (Un homme et une femme : 20 ans déjà) moins glorieuse.
La Disparue de Deauville (2007) de (et avec) Sophie Marceau et Christophe Lambert. Enquête policière au cœur d'un palace de Normandie.
Coco avant Chanel (2009) de Anne Fontaine avec Audrey Tautou et Benoît Poelvoorde. Récit des premiers pas de la couturière de renom qui correspond à la grande époque de la cité balnéaire normande.
Les crevettes grises sont une des spécialités locales. Pêchées par de petits bateaux dans l'estuaire de la Seine, leur fraîcheur sur les étals de la halle aux poissons est sans conteste. Après les avoir cuites au court-bouillon, les déguster encore chaudes, assaisonnées de poivre, de persil et d'une pincée de sel de Guérande... Preuve que concernant la gastronomie, Normands et Bretons savent s'entendre !
Carnets d'été à Trouville-Deauville, Frédérique Citéra-Bullot, Cahier du temps (2002). Recueil de photographies de Jacques-Henri Lartigue prises entre 1904 et 1938 le long de la Côte fleurie et plus particulièrement à Deauville et Trouville.
Deauville, noir et passe, Claude Schopp, Fayard (2001). Un étudiant-journaliste couvre la vie estivale de la cité balnéaire, des concours de bicyclettes fleuries, en passant par la traque photographique de Brigitte Bardot. Une aimable routine bouleversée par la découverte d'un mort.
Deauville entre les planches, Roland Sadaune, Ravet-Anceau (2011). Acteur de seconde zone, Franck Bordas enlève une jeune actrice et la remplace par un sosie. Mais tout ne se passe pas comme prévu...
Sortie des sables à la fin du XIXe siècle par la seule volonté d'un homme pas n'importe quel homme certes, demi-frère de Napoléon III , Deauville est depuis son acte de naissance le royaume du raffinement. Dynamisée par l'arrivée du chemin de fer en 1863, la cité normande n'aura de cesse de croître et de multiplier les activités de loisirs pour les Parisiens en mal de divertissement. Aujourd'hui encore, les habitants de la capitale continuent d'affluer chaque fin de semaine pour s'évader, le temps d'un week-end, aux tribunes de l'hippodrome, dans les salles de jeu du casino, sur les terrasses des restaurants huppés et vers le port pour les heureux propriétaires de bateau.
Mais la proximité mondaine de la capitale française ne suffit pas à l'élégante cité balnéaire normande qui multiplie les rassemblements culturels ou sportifs internationaux. Avec l'organisation du festival du film américain ou asiatique, du festival mondial de bridge, du rassemblement équestre ou nautique international, Deauville ne cesse de cultiver l'art du jeu et du loisir.
Rarement l'image d'une ville ne fut liée autant que Deauville au succès d'un film. Ainsi, le chef-d'œuvre de Claude Lelouche Un homme et une femme est-il indissociable de cette plage et des planches qui la bordent pendant nordique de la croisette cannoise. Pour tout être romantique qui se respecte, le pèlerinage sur cette longue étendue de sable fin est un passage obligé. Dès lors, rares sont les couples qui ne fredonneront pas subrepticement "chabadabada, chabadabada" en déambulant le long du front de mer...
C'est le palace de la ville, résidence officielle du festival du cinéma américain et de toutes les personnalités en visite sur les planches.
Tél. : 02 31 98 66 22
Classée "Villa remarquable" pour son caractère normand affirmé, elle est typique des demeures de la fin du XIXe siècle qui ont contribué au succès de la station balnéaire. L'établissement invite à une plongée dans l'atmosphère du Second Empire.
Tél. : 02 31 14 18 00
Ambiance anglo-normande dans cette bâtisse baignée de verdure et implantée idéalement, entre l'hippodrome et la célèbre promenade des planches. Un univers à la fois suranné et moderne.
Tél. : 02 31 14 01 15
Le front de mer est la sortie obligée pour qui fait escale. Les promeneurs qui longent les planches mythiques, bordées de cabines baptisées du nom des plus grandes stars hollywoodiennes, trouveront une myriade d'activités entre le farniente dans un transat sous l'un des 600 parasols multicolores, les sports nautiques, la promenade équestre, le tennis, le golf, le skate-board ou la natation dans l'immense piscine olympique du bord de mer.
Il n'y a pas de mouillage proche de Deauville. Escale citadine, les charmes d'une nuit dans la ville balnéaire tiennent bien plus dans les plaisirs ludiques et gourmets. Reste alors le choix du bassin d'accueil entre Port-Deauville et Port Morny. Ainsi, Port-Deauville dispose d'un immense bassin proche du Deauville moderne, qui se situe à proximité des boutiques, du casino et des planches. Le port municipal, appelé Port Morny, est le bassin historique de la station balnéaire d'où l'on accède rapidement à Trouville, dite la Reine des plages, et ses belles maisons bourgeoises accrochées à flanc de colline. L'un comme l'autre ne sont accessibles qu'à la haute mer, lorsque les portes des écluses sont ouvertes.