
Dès les premières images, la caméra nous invite à bord du voilier de 16,84 m. Une navigation agréable avec un vrai plaisir de barre et un bon feeling et surtout un bateau qui ne perd jamais de sa rigueur. On profite aussi de l’ergonomie d’un pont pensé comme une véritable terrasse évolutive, où l’on passe des réglages précis en navigation à la détente totale au mouillage. L’atmosphère qu’on découvre à bord est chaleureuse et revendique le droit à l’art de vivre en mer, sans renoncer aux performances. Ces marqueurs, le chantier les annonce aussi noir sur blanc , avec une fiche technique qui montre tout le potentiel du Dufour 54.
Vivre dehors et profiter dedans
Le film nous fait découvrir l’un des atouts majeurs du Dufour 54 : son plan de pont et les différents espaces qu’il peut offrir à son équipage. Le Sky Lounge Cockpit, en U, se transforme au fil de la journée : tables abaissées en bains de soleil à l’ancre, configuration dinette en navigation, circulation fluide grâce au double accès depuis la plage de bain. À l’avant, le Sky Lounge Deck déplie deux assises relevables en chaises longues ; l’étrave devient belvédère et l’horizon, un spectacle permanent. Au niveau de la jupe, la plateforme accueille un nouveau concept : le Sea Stern Cook, une cuisine extérieure modulable (planchas, frigo, évier) qui libère le carré pour les moments de repos. Le film en tire une dramaturgie simple : on règle, on partage, on contemple - sans jamais quitter le grand air.
Écriture architecturale : Felci à la carène, Ardizio à l’ambiance
Sur le fond, le Dufour 54 prolonge l’ADN du chantier : carène signée Umberto Felci, design intérieur orchestré par Luca Ardizio. Le premier joue la carte d’une coque saine, capable de donner toutes les informations au barreur qui va véritablement « sentir » le bateau ; le second ouvre de grands plans visuels vers la mer, grâce à des vitrages panoramiques qui baignent les espaces de lumière. À l’image, cela se traduit par des plans serrés à la barre - gestes courts, bateau réactif - et des plans larges dans le carré, où la luminosité met en valeur les volumes. Un film qui nous fait vraiment découvrir le Dufour 54 et qui nous donne surtout envie de partir naviguer à son bord.
Cocon propriétaire : deux philosophies, un même horizon
La suite avant propose deux scénarios pour l’heureux propriétaire du Dufour 54. Version « cabine propriétaire » avec salle d’eau aménagée vers l’arrière ; ou « suite propriétaire » inspirée des grands yachts, avec salle d’eau à l’avant de la cabine pour offrir un espace dressing/coiffeuse et une circulation adoucie autour du lit. Dans les deux cas, le roof vitré diffuse une lumière rasante qui transforme la cabine en refuge, fidèle à l’idée du yacht : multiplier les points de contact avec la mer, même quand on est à l’intérieur.
Modularité à la carte : un 54 polyvalent de croisière hauturière
Sous le pont, la mise en plan assume une modularité rare sur un bateau de cette longueur (16,80 m) : jusqu’à six cabines et cinq salles d’eau selon les programmes, avec deux philosophies de cuisine - répartition tribord/bâbord ou linéaire bâbord sur les versions cinq cabines - et un carré vaste aux assises mobiles. La proposition du chantier est claire : croisière familiale, charter haut de gamme, grandes traversées, tout converge vers la même promesse d’un usage réussi.
Performances, stabilité, et... latitudes
Quelque soit votre destination et les conditions que vous allez rencontrer, le 54 de Dufour saura garder le contrôle et sa stabilité. Le chantier propose en effet des tirants d’eau au choix pour permettre de répondre aux différents programmes - lagons caribéens ou polynésiens compris - et un hard-top qui sécurise la vie de pont, avec un confort revendiqué jusque dans les mers plus fraîches.
Un lancement sous le signe de l’innovation
Côté actualité, Dufour annonce une version hybride OD Sea+ dans la famille 54, inscrivant le flagship dans une trajectoire plus sobre et écologiquement responsable.
Découvrez ou redécouvrez le Dufour 54 en détail.
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