Unicredit Youth America’s Cup : on connaît les équipes qualifiées !

Par Figaronautisme.com

Ce sont des conditions idéales qui attendaient les marins aujourd'hui à Barcelone, avec une brise de sud entre 8 et 12 noeuds. Au programme : deux courses pour le groupe B et quatre pour le groupe A. Retour sur cette journée intense.

Groupe B - course 7

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© Ian Roman

Dans l'avant-dernière course de la série Group B des équipes invitées, toutes les équipes sont déterminées à se qualifier pour les demi-finales en terminant dans les trois premières places au classement général. Après un léger retard dû à l’utilisation par Sail Team BCN de leur carte de report pour un problème non spécifié, la course a débuté avec une brise respectable de 9 à 11 nœuds. Au départ, l’Australie et les Pays-Bas effectuent de superbes départs à l’extrémité bâbord de la ligne, tandis que la Suède reste au milieu du parcours et croise les Australiens au premier croisement. Une séparation voit la majorité de la flotte partir vers la droite, et l’Australie en tire de gros bénéfices, virant juste devant les Espagnols.

L’Australie rebondit sur la limite droite sous le vent pour couvrir la flotte, qui s’étend sur tout le parcours. La Suède perd du terrain en partant vers la limite gauche, tandis que l’Australie montre sa vitesse de pointe et vire à la première porte sous le vent avec une avance confortable de plus de 130 mètres. Cole Tapper et Jack Ferguson, sur le bateau australien, naviguent bien, mais gardent un œil sur les Espagnols et les Suédois qui les poursuivent. Les Suédois vont vers la limite droite, tandis que l’Australie et l’Espagne arrivent de la gauche.

L’Australie gagne du terrain en naviguant de la limite gauche à la limite droite et appelle une superbe layline tribord, suivie par les Espagnols, pour virer à la dernière marque au vent avec une avance décente. L’Espagne est en deuxième position, la Suède en troisième. Tous les bateaux prennent la marque bâbord. La Suède empanne la première, cherchant de l'air clair, mais est couverte par l’Australie et l’Espagne. La Suède perd du terrain et se fait dépasser à mi-parcours de la descente par le Canada.

L’Australie réussit une autre layline parfaite, cette fois sur la layline bâbord, et franchit la ligne d’arrivée pour sécuriser les 10 points. L’Espagne prend la deuxième place avec 7 points. Le Canada parvient à rester devant la Suède pour prendre la troisième place, et la Suède se contente de la quatrième position après un photo-finish serré avec les Néerlandais. Une course extrêmement compétitive.

Groupe B - course 8

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© Ian Roman

Pour la dernière course, il est confirmé que la Suède et l’Australie sont qualifiées pour les demi-finales, donc l'enjeu est la troisième place, avec Sail Team BCN bien placée et n’ayant besoin que d’une course propre, tandis que les Néerlandais pourraient se faufiler si une catastrophe frappe les Espagnols.

Dès le départ, le Canada et l'Allemagne sont déclarés OCS et pénalisés à l'extrémité bâbord de la ligne. À l’extrémité tribord, une grosse bagarre éclate entre la Suède et l’Australie pour obtenir la meilleure position. L’Australie prend un léger avantage, mais c’est extrêmement serré avec l'Espagne et la Suède. Dans le dernier quart du premier bord, l’Espagne émerge en tête, parallèle à la Suède, se dirigeant vers la limite droite alors qu’une importante bascule du vent à droite survient.

À la première porte au vent, l’Espagne, la Suède et le Canada virent la marque bâbord en ligne, croisant les bateaux arrivant sur bâbord dans une course extrêmement serrée. L’Espagne capte une bonne brise en avant et peut descendre en VMG avec de grands angles, tout comme les Suédois, ce qui leur permet de maintenir leur avance à la première porte sous le vent, tandis que la longueur de la prochaine remontée au vent est portée à 1,2 mille nautique.

L’Espagne réalise un superbe virement sur un seul foil à la marque tribord, tandis que la Suède choisit de prendre la marque bâbord, divisant ainsi les stratégies pour la dernière remontée au vent. L'Espagne revient couvrir les Suédois et réussit à croiser confortablement devant eux. Le Canada et les Néerlandais se battent durement pour la troisième place.

Dans le dernier quart de la remontée, il y a une grande séparation, l’Espagne laissant la Suède partir à droite alors qu’elle atteint la layline bâbord. C'est une décision brillante de la part des Espagnols, qui gagnent beaucoup de terrain et virent avec plus de 200 mètres d’avance. Après un empannage à la limite gauche, l'Espagne couvre étroitement la Suède jusqu'au milieu du parcours, les marins cherchant des zones de brise le long du parcours. En empannant sur la layline tribord, l'Espagne a navigué de manière brillante et s’assure une place en demi-finale, franchissant la ligne et prenant 10 points fantastiques. La Suède termine deuxième et le Canada prend la troisième place.

Groupe A - course 5

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© Ian Roman

La compétition bat son plein pour les équipes de l'America's Cup, avec quatre courses à venir, et les équipes effectuent un rapide changement en moins de 15 minutes. Au départ, c'est extrêmement serré, avec cinq bateaux franchissant la ligne pile à l'heure, et il est difficile de prédire un favori alors que tout le monde se dirige vers la limite gauche. Sur le premier virement, l'équipe britannique (GBR) reçoit une pénalité pour ne pas avoir laissé de place aux bateaux en bâbord amure revenant de la limite, tandis que le duel en tête se joue entre la France et l'Italie, avec les États-Unis qui restent dans le coup.

Aujourd'hui, la France affiche une belle vitesse et vire en tête à la première marque au vent, suivie de près par l'Italie et les États-Unis, avec la Nouvelle-Zélande en quatrième position. L'équipe britannique est maintenant en queue de peloton. Lors de la première descente, l'Italie met la pression sur la France en essayant de les pousser vers le centre du parcours, mais les Français restent en tête de justesse. Les États-Unis réalisent une superbe layline tribord et s’invitent dans l’alignement tribord de l’Italie et de la France, chipant ainsi la deuxième place. L'Italie profite d'un mauvais empannage final des Français, mais tout reste très serré.

Les Italiens jouent intelligemment en allant de limite en limite, arrivant de la gauche pour couvrir la flotte, suivis de près par les États-Unis, et ces deux équipes sont nettement en tête. L'Italie maîtrise les phases de vent dans le dernier quart et domine la course jusqu'à la dernière marque au vent, mais les États-Unis, arrivant de la limite gauche, gagnent du terrain et ces deux équipes abattent à 43 nœuds pour le dernier bord sous le vent.

Les États-Unis empannent en premier, et l'Italie les couvre étroitement. Sortie de nulle part, la Nouvelle-Zélande arrive de la limite gauche avec un gain énorme et dépasse les États-Unis, mais un mauvais empannage annule cet effort et les États-Unis et la France en profitent rapidement pour reprendre l’avantage. L'Italie remporte la course et décroche 10 points, les États-Unis confirment leur place au classement général avec une deuxième place dans cette course, et la France termine troisième.

Groupe A - course 6

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© Ricardo Pinto

Avec un vent stable soufflant entre 12 et 14 nœuds, la flotte a une fois de plus pris un départ groupé, avec la Nouvelle-Zélande (NZL) à l'extrémité bâbord, affichant une belle performance, tandis que la France est pénalisée pour départ anticipé (OCS) et écope d'une autre pénalité par la suite. Les États-Unis (USA) partent à l’extrémité tribord et semblent bien placés, tandis que l’Italie vire à droite et pousse jusqu’à la limite. Les USA croisent l’Italie à la limite sur bâbord amure avant d’être eux-mêmes croisés de très près par l’équipe britannique (GBR), qui reçoit une pénalité pour s’être approchée trop près.

Après une remontée au vent pleine d'action, c’est finalement la Nouvelle-Zélande qui réussit une superbe layline tribord depuis la limite droite, et abat juste en tête devant l’Italie et les USA. Les Américains sont les premiers à empanner vers le milieu du parcours depuis la limite gauche, descendant à 40 nœuds, suivis de près par les Italiens sur un empannage tribord. NZL reçoit une pénalité pour avoir croisé trop près des Italiens en empannant bâbord, ce qui permet à l'Italie de prendre la tête.

Un virement rapide et chaotique de l’Italie resserre les écarts, et la Nouvelle-Zélande, ayant purgé sa pénalité, pousse fort sur le dernier bord de remontée en passant à gauche. Cependant, l’Italie reste fidèle à sa stratégie, conservant la droite du parcours et profite d’une belle bascule à droite dans le premier quart. La Nouvelle-Zélande commence à afficher une réelle vitesse, remontant à la deuxième place et se rapprochant des Italiens, tandis que les USA restent solidement en troisième position.

À la dernière porte au vent, l’Italie est juste en tête, virant devant la Nouvelle-Zélande qui arrive sur la layline bâbord, avec les USA en troisième position, qui sont à nouveau les premiers à empanner sur le dernier bord, visant le milieu droit du parcours. L'Italie et la Nouvelle-Zélande se couvrent mutuellement, et il semble peu probable que des changements surviennent, à moins que les deux derniers empannages ne soient pas propres.

En naviguant vers la layline tribord pour l’arrivée, l’Italie ne commet aucune erreur et franchit la ligne à plus de 40 nœuds pour remporter la course devant la Nouvelle-Zélande et les États-Unis. La France termine 4e, et tous les bateaux terminent dans un intervalle de 19 secondes.

Groupe A - course 7

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© Ian Roman

La septième course de la série suit un schéma similaire, avec la troisième place en jeu alors que la coupure approche à la fin de la journée. Toute l’attention est portée sur GBR, NZL, et la France. Le départ est une nouvelle fois très serré, avec un déséquilibre des Italiens sur la ligne, frôlant la quasi-capsize. C’est la France qui réalise un superbe départ à l’extrémité bâbord de la ligne et réussit un magnifique croisement avec les bateaux en bâbord après le premier virement.

La France mène une course en ligne droite vers la limite droite, le vent basculant vers la gauche, suivie de près par les USA et la Nouvelle-Zélande (NZL). Les Français appellent une superbe layline tribord et virent à la marque bâbord juste devant les USA, tandis que GBR, arrivant derrière en bâbord, prend la marque tribord pour tenter une stratégie différente. Les USA font un grand écart sous le vent avec un gros amerrissage après une "hobby-horse" et perdent du terrain, tombant dans le milieu du peloton.

GBR profite des déboires des USA mais doit faire face à la pression de NZL juste derrière eux. À la dernière porte sous le vent, la France est loin devant, exécutant un superbe virement sur un seul foil à la marque tribord pour se diriger vers la gauche lors de la dernière remontée. GBR et NZL virent rapidement à la marque bâbord et partent à droite. Stratégie intéressante, mais la France couvre bien et garde une avance confortable tout en naviguant parfaitement. La bataille pour les autres places sur le podium fait rage, et GBR part loin à gauche pour réaliser un gros gain dans le dernier quart, dépassant NZL et restant devant les USA.

À la dernière porte au vent, la France vire nettement en tête, suivie par un GBR rapide, maintenant en duel avec NZL à la marque tribord. Avec NZL sous le vent, ce sont les Kiwis qui gagnent et dépassent GBR juste à la marque. Le dernier bord sous le vent est crucial pour GBR, qui cherche désespérément à dépasser NZL alors que les deux bateaux volent vers la layline tribord pour l’arrivée.

Un magnifique dernier empannage des Français sur la layline bâbord leur permet de sécuriser la victoire, mais c’est une catastrophe pour GBR qui s’écrase lors de leur dernier empannage, permettant à NZL de terminer tranquillement à la deuxième place, avec les Britanniques en troisième.

Groupe A - course 8

La dernière course de la série est cruciale pour déterminer le podium des qualifications, avec plusieurs scénarios possibles. Dès le départ, une nouvelle fois très serré, des stratégies très différentes émergent. L’Italie (ITA) reçoit une pénalité pour avoir coupé la route de GBR de trop près en bâbord amure, mais ce sont les États-Unis (USA) qui réalisent un départ propre et prennent la tête de la flotte. L'Italie purgent rapidement leur pénalité et remontent à la deuxième place, tandis que la France et GBR sont engagés dans un duel en plein milieu du parcours.

Le peloton est très compact, tout le monde peut prendre l'avantage à tout moment. Dans le dernier quart, la France semblait en bonne position jusqu'à ce qu'ils tombent des foils, les laissant en mode rattrapage. GBR en profite et monte à la troisième place, derrière les USA et l'Italie, ces trois équipes virant juste devant la Nouvelle-Zélande (NZL), qui est tout près des Britanniques. La France est finalement contrainte d'abandonner la course, éliminant ainsi leurs chances d’accéder aux demi-finales, ce qui laisse GBR et NZL se battre pour la troisième place du podium.

GBR empanne pour couvrir NZL à la limite gauche, mais les Kiwis affichent une grande vitesse et font tout pour dépasser les Britanniques. En tête, les USA sont confortablement en avance tandis que l’Italie fait un splashdown, permettant à GBR et NZL de se hisser en deuxième et troisième position. Il reste deux bords, et c’est une véritable guerre sur l’eau entre GBR et NZL. Dans le premier quart du dernier bord, GBR laisse NZL partir à gauche tandis qu’ils rebondissent sur la limite droite, et lors du croisement, les Britanniques semblent en bonne posture, ayant gagné quelques longueurs.

Tout se joue maintenant sur l'exécution des manœuvres, et à la dernière porte, les États-Unis (USA) abattent à 42 nœuds en tête après un superbe appel sur la layline tribord depuis la limite droite. GBR a réalisé de gros gains en naviguant intelligemment au centre du parcours et se retrouve clairement en deuxième position, tandis que l’Italie (ITA) remonte en troisième place. Un petit splashdown des USA rend la situation extrêmement serrée alors que GBR choisit la layline tribord et que les USA partent sur la layline bâbord.

Les USA remportent de justesse la victoire après un dernier empannage désespéré juste devant GBR, mais c’est GBR qui termine deuxième au moment crucial et se qualifie pour les demi-finales. Les demi-finalistes sont donc l’Italie, les États-Unis et la Grande-Bretagne.

L'équipe
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau est l’atout voyage et évasion de l’équipe, elle est passionnée de croisières et de destinations nautiques. En charge du planning rédactionnel du site figaronautisme.com et des réseaux sociaux, Nathalie suit de très près l’actualité et rédige chaque jour des news et des articles pour nous dépayser et nous faire rêver aux quatre coins du monde. Avide de découvertes, vous la croiserez sur tous les salons nautiques et de voyages en quête de nouveaux sujets.
Gilles Chiorri
Gilles Chiorri
Gilles Chiorri
Associant une formation d’officier C1 de la marine marchande et un MBA d’HEC, Gilles Chiorri a sillonné tous les océans lors de nombreuses courses au large ou records, dont une victoire à la Mini Transat, détenteur du Trophée Jules Verne en 2002 à bord d’Orange, et une 2ème place à La Solitaire du Figaro la même année. Il a ensuite contribué à l’organisation de nombreux évènements, comme la Coupe de l’America, les Extreme Sailing Series et des courses océaniques dont la Route du Rhum et la Solitaire du Figaro (directeur de course), la Volvo Ocean Race (team manager). Sa connaissance du monde maritime et son réseau à l’international lui donnent une bonne compréhension du milieu qui nous passionne.
Il collabore avec les équipes de METEO CONSULT et Figaro Nautisme depuis plus de 20 ans.
Sophie Savant-Ros
Sophie Savant-Ros
Sophie Savant-Ros
Sophie Savant-Ros, architecte de formation et co-fondatrice de METEO CONSULT est entre autres, directrice de l’édition des « Bloc Marine » et du site Figaronautisme.com.
Sophie est passionnée de photographie, elle ne se déplace jamais sans son appareil photo et privilégie les photos de paysages marins. Elle a publié deux ouvrages consacrés à l’Ile de Porquerolles et photographie les côtes pour enrichir les « Guides Escales » de Figaro Nautisme.
Albert Brel
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Albert Brel, parallèlement à une carrière au CNRS, s’est toujours intéressé à l’équipement nautique. Depuis de nombreuses années, il collabore à des revues nautiques européennes dans lesquelles il écrit des articles techniques et rend compte des comparatifs effectués sur les divers équipements. De plus, il est l’auteur de nombreux ouvrages spécialisés qui vont de la cartographie électronique aux bateaux d’occasion et qui décrivent non seulement l’évolution des technologies, mais proposent aussi des solutions pour les mettre en application à bord des bateaux.
Jean-Christophe Guillaumin
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Journaliste, photographe et auteur spécialisé dans le nautisme et l’environnement, Jean-Christophe Guillaumin est passionné de voyages et de bateaux. Il a réussi à faire matcher ses passions en découvrant le monde en bateau et en le faisant découvrir à ses lecteurs. De ses nombreuses navigations il a ramené une certitude : les océans offrent un terrain de jeu fabuleux mais aussi très fragile et aujourd’hui en danger. Fort d’une carrière riche en reportages et articles techniques, il a su se distinguer par sa capacité à vulgariser des sujets complexes tout en offrant une expertise pointue. À travers ses contributions régulières à Figaro Nautisme, il éclaire les plaisanciers, amateurs ou aguerris, sur les dernières tendances, innovations technologiques, et défis liés à la navigation. Que ce soit pour analyser les performances d’un voilier, explorer l’histoire ou décortiquer les subtilités de la course au large, il aborde chaque sujet avec le souci du détail et un regard expert.
Charlotte Lacroix
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Charlotte est une véritable globe-trotteuse ! Très jeune, elle a vécu aux quatre coins du monde et a pris goût à la découverte du monde et à l'évasion. Tantôt à pied, en kayak, en paddle, à voile ou à moteur, elle aime partir à la découverte de paradis méconnus. Elle collabore avec Figaro Nautisme au fil de l'eau et de ses coups de cœur.
Max Billac
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Max est tombé dedans quand il était petit ! Il a beaucoup navigué avec ses parents, aussi bien en voilier qu'en bateau moteur le long des côtes européennes mais pas que ! Avec quelques transatlantiques à son actif, il se passionne pour le monde du nautisme sous toutes ses formes. Il aime analyser le monde qui l'entoure et collabore avec Figaro Nautisme régulièrement.
Denis Chabassière
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Naviguant depuis son plus jeune âge que ce soit en croisière, en course, au large, en régate, des deux côtés de l’Atlantique, en Manche comme en Méditerranée, Denis, quittant la radiologie rochelaise en 2017, a effectué avec sa femme à bord de PretAixte leur 42 pieds une circumnavigation par Panama et Cape Town. Il ne lui déplait pas non plus de naviguer dans le temps avec une prédilection pour la marine d’Empire, celle de Trafalgar …
Michel Ulrich
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Après une carrière internationale d’ingénieur, Michel Ulrich navigue maintenant en plaisance sur son TARGA 35+ le long de la côte atlantique. Par ailleurs, il ne rate pas une occasion d’embarquer sur des navires de charge, de travail ou de services maritimes. Il nous fait partager des expériences d’expédition maritime hors du commun.
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