Optimist, catamaran, planche à voile... vous trouverez à coup sûr de quoi profiter des plaisirs sportifs au centre nautique de la baie de Saint-Vaast-la-Hougue.
Tél. : 02 33 43 44 73
C'est ainsi que Valognes est surnommée. En effet, aux XVIIe et XVIIIe siècles, la ville comptait un grand nombre de familles nobles, ce qui lui confère une aura prestigieuse que Barbey d'Aurevilly a su entretenir. Promenez-vous au milieu des vestiges de cette époque et découvrez le chœur de l'église Saint-Malo, l'Hôtel de Beaumont, les abbayes bénédictines et le château de Tocqueville, où le philosophe rédigea une partie de son œuvre.
Qui n'a jamais rêvé de galoper le long d'une plage à marée basse, sur la grève, ou à marée haute, les sabots dans l'eau ? Le centre équestre du Val de Saire exauce votre souhait.
Tél. : 02 33 23 13 37
Une fois par an, durant l'été, des auteurs régionaux et nationaux, des éditeurs, libraires et professionnels du Musée maritime de l'île Tatihou se retrouvent au fort de La Hougue pour donner des conférences, présenter leurs livres et les dédicacer.
Tous les samedis, légumes, marinières, poissons, huîtres, confitures et fleurs se côtoient ici, au bord du port, dans un tourbillon de saveurs, d'odeurs et de couleurs. Craquez alors pour les financiers de la Maison du Biscuit, qui possède son emplacement sur le marché.
Classée au patrimoine mondial par l'Unesco depuis 2008 pour ses nombreux vestiges, Saint-Vaast-la-Hougue est une terre authentique et sauvage où l'on respire l'air iodé à pleins poumons.
Situé en haut de la colline de la Pernelle, à 5 km de Saint-Vaast-la-Hougue, ce restaurant gastronomique offre une vue unique sur la campagne du Val de Saire et sur la mer.
Tél. : 02 33 54 13 79
Fils de pêcheur, le chef Gilbert Lucas fait partager sa passion marine en cuisinant de façon originale les poissons et autres produits de la mer. La carte est revisitée quotidiennement en fonction des produits, qui sont de toute première fraîcheur.
Tél. : 02 33 23 14 08
Accueil chaleureux, avec une cuisine basée sur des produits frais du terroir. L'ambiance très nature de ce restaurant rappelle le goût des plaisirs vrais.
Tél. : 02 33 54 14 94
Le Cotentin chanté par Allain Leprest (1992). Avec sa voix éraillée, le parolier poète nous chante son spleen dans un Cotentin d'hiver.
Sû la mé d'Alfred Rossel (1895) est considéré comme l'hymne du Cotentin. Bien que le patois normand ne soit pas compréhensible pour tous, on comprend à travers cette musique l'attachement du chanteur à la mer, avec laquelle il noue, comme nombre d'autres habitants de la Manche, une relation particulière.
La Marie du port (1949) de Marcel Carné avec Jean Gabin et Nicole Courcel. Dans un petit port normand, un homme tombe amoureux de la sœur de sa maîtresse. Le film a été tourné en partie à Saint-Vaast-la-Hougue.
Le Mur de l'Atlantique (1970) de Marcel Camus avec Bourvil et Jean Poiret. Le film se déroule à Saint-Vaast-la-Hougue et aborde le lourd sujet de la Résistance.
Vent mauvais (2007) de Stéphane Allagnon avec Aure Atika, Bernard Le Coq, Jonathan Zaccaï. Dans une petite ville située en bord de mer, à la pointe du Cotentin, débarque Frank, chargé de remettre en marche le système informatique d'un supermarché. Le film se transforme au fur et à mesure en un polar aux allures de western.
Saint-Vaast-la-Hougue est réputée pour ses huîtres : la Manche est l'une des principales régions d'élevage puisqu'elle fournit à elle seule plus d'un cinquième de la production nationale, et Saint-Vaast-la-Hougue est le fleuron de l'ostréiculture. À vous de choisir si vous préférez les cuisiner vous-même après les avoir achetées au marché de la ville ou plus simplement les déguster dans un restaurant du port. Depuis 1889, la célèbre épicerie Gosselin, qui se trouve au cœur de Saint-Vaast, propose à la fois des spécialités normandes et des produits du monde entier. Ainsi, la maison est devenue un passage obligé très apprécié des marins comme des vacanciers.
Les Treize Vents, Juliette Benzoni (1992-1994). Cette saga constituée de quatre tomes raconte les aventures épiques et amoureuses de Guillaume. L'auteur décrit au fil de son œuvre romanesque Valognes, le Val de Saire, Saint-Vaast-la-Hougue...
Tombelaine, Bernard Capo et Gilles Chaillet (2001). Bande dessinée narrant les péripéties de Quentin Fortune qui a hérité d'un manoir dans la Manche. On y voit la tour de la Hougue et l'île de Tatihou dans une atmosphère du XIXe siècle.
Plusieurs œuvres de Jules Barbey d'Aurevilly décrivent le Cotentin dont il est originaire. Par exemple, dans Le Dessous de cartes d'une partie de whist, une nouvelle de son recueil Les Diaboliques (1874), l'écrivain dépeint Valognes, sans jamais la citer.
Des paysages romantiques, des monuments historiques, des plages de sable, des chemins de randonnée à travers une campagne verdoyante, des festivals animés pendant les vacances... Saint-Vaast-la-Hougue a tout d'une station balnéaire et touristique. Pourtant cette ville portuaire a su garder le charme normand qui la caractérise. La tour Vauban qui domine la ville et les façades en granit ou en "pierre bleue" résistent à l'épreuve du temps.
Grâce à la grande variété des milieux biologiques qui la composent, Saint-Vaast-la-Hougue et ses alentours sont un véritable parc naturel. Une multitude d'espèces d'oiseaux s'y croisent : goélands, mouettes, grèbes, cormorans, etc. L'île de Tatihou, qui fait face à la Hougue, est d'ailleurs un haut lieu d'observation et d'études ornithologiques. Trois espaces végétaux y sont présentés : le jardin des découvertes regroupant les espèces du littoral, le grand jardin maritime ouvert sur le large et le jardin d'acclimatation où des espèces exotiques se sont adaptées au milieu marin.
De nombreuses églises romanes ponctuent le paysage manchois, à l'instar de la chapelle médiévale des marins dont il ne subsiste aujourd'hui que le chœur. Saint-Vaast-la-Hougue entra dans l'histoire nationale lorsqu'elle fut le théâtre du début de la guerre de Cent Ans : Edouard III y débarqua en 1346. Mais sa réputation historique tient aussi à ses tours (Vauban et Tatihou) construites en 1694, à la suite de la défaite de 1694 face aux ennemis anglais et hollandais. Saint-Vaast-la-Hougue fut également un grand acteur durant la seconde guerre mondiale : les côtes du Val de Saire sont marquées par les blockhaus et les traces du débarquement de juin 1944.
Ancien relais de poste, cet hôtel dont la façade est recouverte de vigne vierge et de fleurs fuchsia dégage un charme pittoresque. L'auberge se divise en trois maisons donnant vue sur un jardin verdoyant qui fait de ce lieu un havre de quiétude.
Tél. : 02 33 54 40 41
Cet hôtel 3 étoiles tient son charme de ses murs de granit mais aussi de son atmosphère qui inspire le calme et le confort. Sa situation privilégiée permet d'accéder à pied au port comme au centre-ville, ainsi qu'à différents chemins de balade.
Tél. : 02 33 54 58 99
Situé au bord de la plage de Réville, cet hôtel 3 étoiles offre une vue imprenable sur la baie de Saire. La présence d'un jardin aux essences exotiques invite à la rêverie.
Tél. : 02 33 54 54 64
Après avoir visité le fort de la Hougue, rejoignez l'île de Tatihou pour découvrir le site muséographique et sa réserve ornithologique. La traversée peut se faire à pied à marée basse, compter 25 minutes, ou bien en véhicule amphibie (qui, selon les marées, roule ou flotte). Depuis 20 ans, chaque année en août, l'île accueille pendant dix jours une vingtaine de concerts dans le cadre du Festival des traversées Tatihou.
À 6 milles au sud-est des côtes, le mouillage situé entre les deux seules îles de la Manche orientale, les îles Saint-Marcouf, donne l'impression d'être aller au bout du monde. Pour des raisons de sécurité, le débarquement est actuellement interdit sur l'île du Large, dont les fortifications tombent en ruine, et sur l'île de Terre, où est abritée la réserve ornithologique. Bien accrochée dans une vase dense à 10 m de fond, l'ancre vous permet de résister au courant : c'est un atout si l'on souhaite contempler les vols et les plongées et se laisser étourdir par les cris des nombreux cormorans, goélands, fous de bassan, pétrels-tempête ou macareux moine.