Les initiatives écoresponsables de l'industrie nautique

Economie
Par Norbert Conchin

Depuis quelques années, l’offre d’une motorisation plus écologique s’intensifie et se diversifie. Mais passer à l’électrique, à l’hybride ou aux carburants plus propres ne constitue pas le seul effort pour bâtir une plaisance durable. Le recours aux énergies fossiles dans le domaine de la construction, que ce soit pour les matériaux ou pour la fabrication elle-même, est encore bien d’actualité. C’est sur l’ensemble de ces points que les fabricants entendent maintenant effectuer un sevrage progressif afin de tendre vers une réduction de l’empreinte environnementale sur l’ensemble du cycle de vie de nos bateaux. Voici un petit tour des initiatives engrangées.

Depuis quelques années, l’offre d’une motorisation plus écologique s’intensifie et se diversifie. Mais passer à l’électrique, à l’hybride ou aux carburants plus propres ne constitue pas le seul effort pour bâtir une plaisance durable. Le recours aux énergies fossiles dans le domaine de la construction, que ce soit pour les matériaux ou pour la fabrication elle-même, est encore bien d’actualité. C’est sur l’ensemble de ces points que les fabricants entendent maintenant effectuer un sevrage progressif afin de tendre vers une réduction de l’empreinte environnementale sur l’ensemble du cycle de vie de nos bateaux. Voici un petit tour des initiatives engrangées.

C’est un sujet qui monopolise nos vies quotidiennement, presque dans chacun de nos faits et gestes maintenant. La réduction des gaz à effet de serre (GES) réclame inéluctablement un effort de chacun, comme le rappellent plusieurs organisations scientifiques et intergouvernementales. L’ensemble des États, des entreprises et des populations sont concernés afin que nos futurs modes d’habitat, de consommation et de déplacement ne contribuent plus à accélérer davantage le réchauffement climatique. Mais ce n’est plus l’unique but. Désormais commence à s’intégrer dans nos consciences que la manufacture de produits utilisant des ressources fossiles (charbon, pétrole, gaz), qui mettent quelques millions d’années à se produire, doit à terme, migrer vers des matières premières à renouvellement rapide et/ou utiliser des produits qui peuvent se recycler. L’équation est simple. En partant d’un stock donné qui ne peut pas évoluer (suffisamment vite) à l’échelle de nos besoins, l’extraction en continu ne peut aller que vers sa disparition. Donc, vient le moment de s’interroger sur l’impact global de nos sorties en mer, de nos navigations. Selon les études de l’Ademe (l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) 2,9 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre proviennent du secteur maritime, dont 87 % concernent les navires commerciaux. À lire ces chiffres, le secteur de la plaisance représenterait moins d’un dixième de pourcent des rejets mondiaux. Cela peut amener un sentiment de déculpabilisation ou d’attentisme, mais ce serait omettre l’inertie que les difficultés technologiques et structurelles imposent. À titre d’exemple, et malgré les efforts consentis, les bateaux à motorisation électrique n’excèdent encore pas plus de 2 ou 3 % des ventes. Quant aux bateaux en fibre végétale et résine recyclable, ils sont encore au stade de prototypes ou séries confidentielles. La route semble donc assez longue avant que l’évolution de la technologie nous permette d’arriver à sortir de l’ère fossile.

La règle de trois

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Le liège, ici sur un Excess, sera bientôt utilisé sur les marques très luxueuses comme Azimut sur les Seadeck 6, 7 et 8.

Si le regain d’intérêt pour toutes ces nouvelles technologies est bien palpable sur les salons et chez les concessionnaires, au moment de signer le bon de commande, ces options « vertes » sont encore trop peu cochées, comme en témoignent certains directeurs commerciaux. Trop d’incertitudes sur la fiabilité, pas assez d’autonomie ou de vitesse, et une coque en fibre de lin résistera-t-elle ? Les arguments sont encore nombreux pour justifier le report de ces bonnes intentions. Selon une étude menée par le Protocole GHG (une norme de comptabilisation des gaz à effet de serre) sur une période de vingt ans, 80 % de l’empreinte carbone seraient liés à l’utilisation du bateau et 20 % issus donc de sa fabrication. Ces pourcentages étant à prendre avec prudence. Les voiliers, qui sont déjà des hybrides par définition, pourraient générer une répartition plus proche de 50/50. Pour l’utilisation, le but est de remplacer le carburant fossile. Pour la fabrication, cela comprend deux paramètres : les matériaux qui sont employés pour la construction (résine, fibre, bois, tissu, métaux, mousse) mais aussi tous les autres postes de dépenses énergétiques. Il faut des ateliers chauffés et éclairés, alimenter des machines, déplacer des employés et toute une logistique pour acheminer les produits composants et finalement livrer le bateau à son acquéreur. Ce sont tous ces flux physiques de personnes, d’objets et donc d’énergie qui doivent être pris en compte pour établir le bilan carbone qui lui-même servira de base pour chercher à réduire les émissions.

De ces trois proportionnalités énergivores : utilisation sur l’eau, matériaux de construction et fabrication, pourrions-nous appliquer la fameuse règle de trois définissant la quatrième proportionnelle ? C’est-à-dire l’adhésion des acheteurs sans qui rien n’est possible. Oui, serions-nous tentés de répondre à la lumière des initiatives et des efforts de nos industriels et artisans nautiques dans chacun de ces domaines. Car malgré les ultimatums légaux de réduction d’émissions, les hausses du prix de l’énergie ou l’adoption de certaines matières, c’est bien le bénéfice en agrément, en fiabilité, en économie et en cohérence qui convaincra les plaisanciers.

La filière nautique l’a bien compris et s’est organisée pour harmoniser une méthodologie et des outils de mesure de l’impact du cycle de vie du bateau (ACV). Sous l’égide de l’European Boating Industry (EBI), 17 constructeurs se sont regroupés pour développer une norme de calcul scientifique permettant d’orienter l’écoconception des bateaux de moins de 24 mètres sur la meilleure voie possible.

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© Les motorisations électriques prennent peu de place dans les cales moteurs. Un avantage non négligeable.

Une offre de motorisation qui s’élargit lentement mais sûrement

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Les cales reçoivent de grands parcs de batteries pour alimenter les moteurs électriques. Mais cela changera dans un avenir pas si lointain.

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Le plus important est de ne pas s'apercevoir que l'on navigue en hybride. Comme sur une automobile actuelle.

Cette année, les motorisations électriques, que ce soit avec un montage en série ou en parallèle, marquent encore une évolution. Pour les montages en série, la transmission par arbre d’hélice semble se développer. Avec moins de frottements et de renvois, le rendement est meilleur. Cela convient particulièrement pour les voiliers de croisière ayant besoin de beaucoup d’autonomie. Du côté du montage en parallèle, la plus forte évolution est attendue suite aux tests du Jeanneau NC 37 hybride Volvo, qui durent depuis plus d’un an. Les premiers essais sont assez concluants puisqu’ils montrent que le système d’hybridation, complètement automatisé, exempte le pilote d’une gestion particulière, comme c’est le cas sur les voitures actuellement. « Mais l’augmentation de 25% du tarif est encore dissuasive et ne se tolère plus que sur les unités de grand luxe » nous confie Eric Stromberg, du groupe Beneteau. L’Azimut Seadeck 6 et certains motoryachts du groupe Beneteau pourraient bien en être équipés dès le Yachting Festival de Cannes en septembre prochain pour le premier, 2025 pour les autres. Côté voiliers, le groupe Fountaine Pajot-Dufour équipe ses catamarans Aura 51 et ses monocoques d’une motorisation Smart électrique développée en interne. Afin de les faire découvrir, et de s’accoutumer à ces modes propulsifs, le loueur Dream Yacht en a commandé une dizaine.

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La technologie du moteur hybride en parallèle se développe. Après Volvo, c’est au tour de Beta Marine d’équiper les premiers bateaux de plaisance.

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L’avenir du powerboat électrique passe sans doute par l’exploitation des foils et la pile à hydrogène qui permet de stocker l’énergie moins lourdement que les batteries.

Fourniture et gestion d'énergie

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La transition écologique de la plaisance est en marche et le solaire en est une donnée essentielle. Ici le New Windelo 50.

Avec ce besoin de puissance électrique, l’obtention de l’énergie devient cruciale. Dans ce domaine, on assiste à un recouvrement de plus en plus important des surfaces disponibles à bord. Les New Windelo 50 et 54 en sont la démonstration. Rouf et plages avant ont été redessinés pour accueillir une surface de panneaux solaires, plus importante et intégrée. Une puissance d’au minimum 4 à 5 kWc semble le standard minimum pour assurer la vie à bord. Pour ne pas avoir recours au groupe électrogène, seuls les voiliers rapides paraissent capables d’hydrogénérer suffisamment de courant pour alimenter des moteurs électriques, mais là encore la technologie évolue. En dessous de 10 nœuds, le niveau de recharge actuel (entre 0,3 et 0,6 kW) conviendra seulement pour la gestion du bord. Afin d’éviter de faire marcher le groupe électrogène diesel, d’autres sources comme les éoliennes font partie du mix énergétique qui, par l’addition de plusieurs contributeurs, peuvent optimiser le niveau des batteries. La pile à combustible à hydrogène fonde aussi beaucoup d’espoir pour remplacer le pétrole, mais les approvisionnements d’hydrogène jusqu’à nos bateaux sont encore au stade du balbutiement.

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Les applications et interfaces de gestion du bord servent aussi à faire des économies d’énergie.

Matériaux naturels et recyclables

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La fibre de lin utilisée sur l'Outremer de Roland Jourdain a fait ses preuves en course transocéanique.

L’objectif tend à produire des bateaux avec des matériaux suivant un procédé de reproduction court, moins polluant et/ou recyclable. Comme pour la motorisation électrique, des chantiers nouvellement créés, par et pour une empreinte écologique minimisée, ont commencé depuis quelques années à construire à l’aide de matériaux plus neutres pour l’environnement. C’est le cas de Windelo qui utilise de la fibre de basalte et de la mousse PET pour réaliser les coques et structures de ses catamarans. L’inconvénient est que cette fibre est trois fois plus chère que la fibre de verre. Quant à la mousse PET elle a besoin d’une densité 30 % plus importante pour afficher la même résistance. Le panachage est donc opéré pour garder un devis de poids acceptable en regard des performances. Pour des chantiers de moyenne production, la prise de risques est déjà plus conséquente, car leur notoriété a été bien établie sur des bases conventionnelles difficiles à remettre en question.

Néanmoins, Neel a aussi introduit de nouveaux matériaux. Sur le 43, de nombreuses pièces non structurelles dans les aménagements comme des contre-moules adoptent un sandwich qui intègre un tissu verre/lin de 300 g/m2 et une âme en liège. Chez Prestige Yachts, on utilise aussi des mousses recyclées pour l‘âme des coques ainsi que du balsa. Sur un motoryacht puissant, l’incidence est moindre.
Chez Outremer, après avoir construit, partiellement en fibre de lin, le 5X de Roland Jourdain, on reste encore timide pour proposer ce type d’innovation. Les marques ne peuvent se résoudre à revenir en arrière sur les acquis de performance. Le but est d’aller vers des cycles plus vertueux, mais à condition de pouvoir proposer des produits équivalents à ceux d’aujourd’hui, voire mieux et à un prix attractif.

Dans ce sens, Damien Jacob, responsable produit voile du groupe Beneteau, nous confie qu’il n’est pas facile de trouver le juste curseur. « Nous utilisons, petit à petit, plus de fibres naturelles et de résines biosourcées. Les petites pièces (panneaux de pont, mobiliers) sont produites sur ce mode. Cela peut sembler peu, mais à l’échelle du groupe, cela équivaut à plus d’une centaine de bateaux entiers. Nous produisons également une série d’une vingtaine de Sun Fast 30 One Design avec de la résine Elium d’Arkema. Cela nécessite d’adapter notre savoir-faire car il faut trouver le bon compromis poids/rigidité. Nous le faisons en partenariat avec Multiplast et les vingt nouveaux modèles ne présentent aucune différence avec les premiers fabriqués de manière conventionnelle. Pour les croiseurs, un First 44 entièrement construit à partir de cette résine recyclable est en test depuis un an et l’on envisage de l’utiliser, à court terme, pour la production des grands modèles du groupe comme l’Oceanis 60 ou les Jeanneau Yachts car l’écart de prix est plus facilement assimilable. Enfin l’emploi systématique de l’iroko en remplacement du teck a très bien été accepté par la clientèle

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Petit à petit, des matériaux recyclés ou naturels viennent s’immiscer dans la construction, mais c’est un travail de longue haleine.

La décarbonation de la production

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Les chantiers sont de gros consommateurs d'énergie. Et toutes les économies sont les bienvenues.

Les bateaux de plaisance sont des produits volumineux, lourds à déplacer. Leur fabrication nécessite beaucoup d’espace et d’énergie. C’est plus impactant pour les grands chantiers d’où sortent des centaines de bateaux en comparaison des petits chantiers qui réalisent tout au plus quelques unités par an. Si l’on prend l’exemple d’un seul des 22 sites de production du groupe Bénéteau, la consommation s’élève à six millions de kWh d’électricité et dix millions de kWh de gaz par an ! Si l’on y rajoute la consommation des autres unités de production, on comprend aisément que la direction ait entrepris une démarche volontaire en dépêchant 53 de ses collaborateurs à bord de « The Arch » dans le cadre de son programme, B-Sutainable, stratégie de son RSE à l’horizon 2030. De simples mesures, comme le fait de passer par la petite porte au lieu du grand portail, comme organiser les équipes sachant que dix compagnons auront besoin d’autant d’énergie qu’une centaine, peuvent avoir une influence sur la note en fin d’année. Les trois gros leviers sur lesquels agir sont l’extraction/ventilation, le chauffage hivernal, la compression d’air pour l’infusion. Des résolutions de bon sens, mais qui demandent l’adhésion de tous, peuvent donner des résultats impressionnants. « Sur sept ans, l’économie d’énergie est de 35 % » nous précise Eric Greaud, qui est responsable de l’application de ces normes pour le groupe. L’eau est aussi au centre des enjeux. Pour le lavage des bateaux en fin de cycle de production, un premier boatwash a été inauguré, qui permet de diviser par cinq le besoin d’eau. Le groupe Fountaine Pajot a de son côté établi un plan stratégique. L’aspect industriel du plan Odysséa 24 a pour but d’améliorer les procédures de production sur l’ensemble du cycle de vie des bateaux, afin de réduire l’impact de la fabrication et de l’utilisation sur l’environnement. Réduire l’empreinte environnementale de l’industrie nautique est une succession de défis et de petites actions. Cela implique d'inventer des solutions techniques valables, de créer des partenariats et de réaliser des investissements autant humains que financiers.

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Cela ressemble à du teck, ça n'en est pas. Il s'agit d'Iroko, ici sur le pont d'un First 44. On s'y méprendrait.

Découvrez cet article et bien plus encore dans notre dernier hors-série Collection 2024 à lire et à relire tout l'été par ici !

L'équipe
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau est l’atout voyage et évasion de l’équipe, elle est passionnée de croisières et de destinations nautiques. En charge du planning rédactionnel du site figaronautisme.com et des réseaux sociaux, Nathalie suit de très près l’actualité et rédige chaque jour des news et des articles pour nous dépayser et nous faire rêver aux quatre coins du monde. Avide de découvertes, vous la croiserez sur tous les salons nautiques et de voyages en quête de nouveaux sujets.
Gilles Chiorri
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Gilles Chiorri
Associant une formation d’officier C1 de la marine marchande et un MBA d’HEC, Gilles Chiorri a sillonné tous les océans lors de nombreuses courses au large ou records, dont une victoire à la Mini Transat, détenteur du Trophée Jules Verne en 2002 à bord d’Orange, et une 2ème place à La Solitaire du Figaro la même année. Il a ensuite contribué à l’organisation de nombreux évènements, comme la Coupe de l’America, les Extreme Sailing Series et des courses océaniques dont la Route du Rhum et la Solitaire du Figaro (directeur de course), la Volvo Ocean Race (team manager). Sa connaissance du monde maritime et son réseau à l’international lui donnent une bonne compréhension du milieu qui nous passionne.
Il collabore avec les équipes de METEO CONSULT et Figaro Nautisme depuis plus de 20 ans.
Sophie Savant-Ros
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Sophie Savant-Ros
Sophie Savant-Ros, architecte de formation et co-fondatrice de METEO CONSULT est entre autres, directrice de l’édition des « Bloc Marine » et du site Figaronautisme.com.
Sophie est passionnée de photographie, elle ne se déplace jamais sans son appareil photo et privilégie les photos de paysages marins. Elle a publié deux ouvrages consacrés à l’Ile de Porquerolles et photographie les côtes pour enrichir les « Guides Escales » de Figaro Nautisme.
Albert Brel
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Albert Brel
Albert Brel, parallèlement à une carrière au CNRS, s’est toujours intéressé à l’équipement nautique. Depuis de nombreuses années, il collabore à des revues nautiques européennes dans lesquelles il écrit des articles techniques et rend compte des comparatifs effectués sur les divers équipements. De plus, il est l’auteur de nombreux ouvrages spécialisés qui vont de la cartographie électronique aux bateaux d’occasion et qui décrivent non seulement l’évolution des technologies, mais proposent aussi des solutions pour les mettre en application à bord des bateaux.
Jean-Christophe Guillaumin
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Jean-Christophe Guillaumin
Journaliste, photographe et auteur spécialisé dans le nautisme et l’environnement, Jean-Christophe Guillaumin est passionné de voyages et de bateaux. Il a réussi à faire matcher ses passions en découvrant le monde en bateau et en le faisant découvrir à ses lecteurs. De ses nombreuses navigations il a ramené une certitude : les océans offrent un terrain de jeu fabuleux mais aussi très fragile et aujourd’hui en danger. Fort d’une carrière riche en reportages et articles techniques, il a su se distinguer par sa capacité à vulgariser des sujets complexes tout en offrant une expertise pointue. À travers ses contributions régulières à Figaro Nautisme, il éclaire les plaisanciers, amateurs ou aguerris, sur les dernières tendances, innovations technologiques, et défis liés à la navigation. Que ce soit pour analyser les performances d’un voilier, explorer l’histoire ou décortiquer les subtilités de la course au large, il aborde chaque sujet avec le souci du détail et un regard expert.
Charlotte Lacroix
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Charlotte est une véritable globe-trotteuse ! Très jeune, elle a vécu aux quatre coins du monde et a pris goût à la découverte du monde et à l'évasion. Tantôt à pied, en kayak, en paddle, à voile ou à moteur, elle aime partir à la découverte de paradis méconnus. Elle collabore avec Figaro Nautisme au fil de l'eau et de ses coups de cœur.
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Naviguant depuis son plus jeune âge que ce soit en croisière, en course, au large, en régate, des deux côtés de l’Atlantique, en Manche comme en Méditerranée, Denis, quittant la radiologie rochelaise en 2017, a effectué avec sa femme à bord de PretAixte leur 42 pieds une circumnavigation par Panama et Cape Town. Il ne lui déplait pas non plus de naviguer dans le temps avec une prédilection pour la marine d’Empire, celle de Trafalgar …
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Après une carrière internationale d’ingénieur, Michel Ulrich navigue maintenant en plaisance sur son TARGA 35+ le long de la côte atlantique. Par ailleurs, il ne rate pas une occasion d’embarquer sur des navires de charge, de travail ou de services maritimes. Il nous fait partager des expériences d’expédition maritime hors du commun.
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