Les multiples visages du stand up paddle

Glisse
Par Laurent Nevarez

Pour le grand public et la majorité des nouveaux adeptes, le stand up paddle ou « paddle » est fortement associé aux planches gonflables qui permettent de se balader en famille aux beaux jours. Derrière cette pratique très accessible et bien évidemment, appréciée de tous, se cache une activité sportive beaucoup plus complexe et diversifiée qui a su, en une quinzaine d’années d’existence, développer de très nombreuses facettes et écrire sa propre histoire. Il existe d’innombrables façons d’aborder le stand up paddle, comme autant de voies possibles pour faire évoluer sa pratique personnelle vers de nouveaux horizons.

©Laurent Nevarez
Pour le grand public et la majorité des nouveaux adeptes, le stand up paddle ou « paddle » est fortement associé aux planches gonflables qui permettent de se balader en famille aux beaux jours. Derrière cette pratique très accessible et bien évidemment, appréciée de tous, se cache une activité sportive beaucoup plus complexe et diversifiée qui a su, en une quinzaine d’années d’existence, développer de très nombreuses facettes et écrire sa propre histoire. Il existe d’innombrables façons d’aborder le stand up paddle, comme autant de voies possibles pour faire évoluer sa pratique personnelle vers de nouveaux horizons.

1. Touring

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Ce terme anglo-saxon que l’on pourrait définir comme « randonnée sur l’eau » propose une dimension plus touristique et proche de la nature du stand up paddle. Contrairement aux balades récréatives pratiquées seul ou en groupe à proximité de la côte ou d’un point d’accès, l’approche « touring » met en exergue des sorties sur l’eau de plusieurs heures sur un itinéraire précis de quelques kilomètres.

Ces randonnées passionnantes à partager en groupe, offrent un nouveau regard sur l’environnement et comportent un objectif de visite généralement défini à l’avance. À l’instar d’une randonnée pédestre ou de cyclotourisme, une sortie touring se prépare un minimum, en étudiant les cartes pour déterminer le meilleur chemin à emprunter, les dangers éventuels, les zones pour faire une pause.

Cette pratique relativement sportive qui requiert un peu d’endurance et de navigation, constitue une piste d’évolution très séduisante pour des pratiquants déjà un peu expérimentés aimant la découverte et la nature. Pour avaler les kilomètres sans trop d’efforts, on recommandera d’utiliser des grandes planches (gonflables ou rigides) de 11’’ à 14’’ procurant une bien meilleure glisse pour accompagner les grandes distances. On privilégiera une forme de planche avec une partie avant affinée (avec étrave ou non) pour une meilleure pénétration dans l’eau, une largeur relativement confortable (28’’ à 30’’) et des filets élastiques sur le pont afin de pouvoir transporter des sacs étanches contenant des vivres, des vêtements, divers accessoires et pourquoi pas une tente pour les plus aventuriers !

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La pratique du touring demande un minimum d’organisation et de prévoyance. Outre les réserves énergétiques et d’hydratation ou le port d’une tenue adaptée aux conditions météo, il est essentiel de prévoir l’équipement de sécurité indispensable comportant un gilet de sauvetage (gonflable ou normal), une fusée de détresse, un téléphone portable dans une housse étanche et/ou une radio VHF étanche.

2. SUP-fitness

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Comme d’autres activités populaires de plein air, telles que la course à pied ou le vélo, le stand up paddle attire aussi de plus en plus d’hommes et de femmes souhaitant retrouver la ligne et se maintenir en forme, tout en se faisant plaisir. L’approche fitness du stand up paddle s’articule donc autour de séances de rame plus sportives, plaçant l’effort physique et la dépense énergétique au cœur de l’activité.

Quel que soit votre niveau, vous avez pu constater que le paddle sollicite l’ensemble des muscles du corps pour la propulsion mécanique (rame) ou la stabilisation de la planche sur l’eau. Abdos, dorsaux, cuisses, mollets, fessiers, pectoraux, trapèzes, biceps… absolument aucun muscle n’est épargné comme en témoignent les courbatures que nous ressentons tous. La dépense énergétique associée à cette activité si complète est, sans surprise, particulièrement élevée. Elle représente ainsi pas moins de 500 à 600 kilocalories pour une séance de 40 min de rame sportive, soit plus d’un quart de la dépense quotidienne recommandée. Associée à une alimentation saine, cette forte consommation calorique peut donc vous aider à perdre efficacement du poids en allant puiser dans vos réserves. La pratique du stand up tonifie également votre corps grâce à l’importante sollicitation du gainage (abdos) lors de chaque mouvement de rame tandis que le travail permanent d’équilibre sur la planche va tonifier vos cuisses et vos fesses. Le SUP-fitness sollicite grandement l’appareil cardio-respiratoire pour amener l’oxygène en quantité suffisante aux muscles tournant à plein régime. Ces nombreux bienfaits sont autant de bonnes raisons d’essayer le SUP-fitness qui constitue pour beaucoup de pratiquant(e)s novices à expérimenté(e)s une excellente façon d’élargir son approche du paddle et effectuer une activité physique en plein air, loin des salles de gym.

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S’il est évidemment possible d’utiliser pour cette pratique des planches allround classiques de 9’’ à 10’’ (gonflables ou rigides), il peut être judicieux d’opter, comme en touring, pour des planches plus longues et affinées tout en gardant un minimum de largeur pour le confort (stabilité). On privilégiera les planches pas trop lourdes ni trop larges, afin de garder un peu de nervosité sous les pieds pour accélérer facilement les cadences de rame.

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3. SUP-race

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Sans conteste le volet le plus athlétique du stand up paddle, la « race » (« course » en anglais) fut initiée à Hawaï par des surfeurs de grosses vagues comme Laird Hamilton ou Dave Kalama qui ramaient, certains jours sans vagues, debout sur des grandes planches pour effectuer de longues traversées en plein océan, poussés par le vent dans le dos (downwind). Quelques années plus tard, en octobre 2008, un évènement nommé Battle of Paddle fut organisé en Californie et rassembla, sur un format de course originale, de nombreux aficionados de cette nouvelle forme de rame debout sur l’eau. Le phénomène SUP-race était lancé. Il suscita rapidement un vif intérêt aux quatre coins du monde, s’imposant progressivement comme une véritable discipline à part entière.

À l’instar des courses pédestres (marathons, trails…) qui attirent chaque week-end des milliers de pratiquants de tous horizons et de tous niveaux, le SUP-race réunit sur une même ligne de départ de très nombreux amateurs et des professionnels autour de parcours de 5 à 20 km sur des lacs, en rivière ou en plein océan. L’objectif de cette discipline est bien sûr de franchir la ligne d’arrivée le plus rapidement possible, mais c’est, avant tout, un moyen de repousser ses limites et se challenger soi-même ou entre amis. Le SUP-race réussit à fédérer des passionnés de tous niveaux autour d’un même objectif et représente une piste d’évolution intéressante pour des pratiquants qui ont déjà une petite expérience de rame. Nul besoin d’être forcément un grand athlète pour faire du SUP-race, chacun trouvera du plaisir dans l’entraînement et le dépassement de soi puis se fixera des objectifs à la hauteur de ses capacités. Il y a en France et en Europe une multitude d’évènements destinés à tous les publics et certains comme le Nautic SUP Paris Crossing peuvent rassembler jusqu’à 1000 rameurs sur la Seine, animés par la même passion.

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Si les courses étaient pratiquées à l’origine, en 2008, sur des planches allround de 9’’ à 11’’, le matériel évolua très rapidement pour répondre aux exigences de glisse et performance. Des planches très longues et affinées avec des jauges de longueur fixées à 12’’6 et 14’’ s’imposèrent en quelques années comme les standards désormais utilisés par la plupart des pratiquants. Il est évidemment possible de s’initier au SUP-race avec une planche touring confortable de 11’’ à 14’’ de long mais une planche optimisée pour la course avec une largeur plus étroite de 24’’ à 26’’ et un design optimisé, vous apportera un gain de vitesse facilement perceptible. Sur 20 km de rame, vous remarquerez vite la différence, croyez-nous !

4. SUP-yoga

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Particulièrement prisée depuis quelques années par un large public mixte en quête de bien-être, la pratique du yoga ne se limite pas uniquement aux salles feutrées. Elle a ainsi su également s’implanter sur les plans d’eau grâce à une symbiose originale avec le stand up paddle. Le SUP-yoga est donc devenu une pratique à part entière qui attire de plus en plus d’adeptes appréciant les bienfaits de ces deux disciplines très complémentaires sur leur santé physique et psychique.

Quel que soit le type de yoga (Hatha, Ashtanga, bikram, vini…), les bienfaits sur le corps et l’esprit ne sont plus à démontrer : souplesse, gainage, coordination, équilibre, contrôle de la respiration, relaxation, lâcher-prise, concentration. L’association avec le SUP la propulse véritablement dans une nouvelle dimension en y intégrant de nombreux autres éléments positifs et une influence non négligeable de l’environnement extérieur. Posée sur l’eau, la planche de SUP est soumise aux mouvements et déformations du milieu. Si elle est certes suffisamment stable pour enchaîner les postures avec son corps, elle offre malgré tout une légère instabilité qui tonifie celui-ci en sollicitant des muscles profonds que l’on n’utilise pas au sol. De plus, cette recherche permanente d’équilibre fait également travailler la proprioception, une qualité indispensable pour augmenter ses performances sportives et éviter les risques de blessures comme les entorses. L’environnement naturel dans lequel on évolue en SUP-yoga apporte énormément de bénéfices par rapport à une pratique traditionnelle en salle. Cette atmosphère, bien plus riche et complexe, met tous les sens en éveil et amplifie les effets déjà très relaxants du yoga.

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Question équipement, la priorité en SUP-yoga est la stabilité et le confort du pont. Il est parfaitement envisageable d’utiliser une planche allround (gonflable ou rigide) avec une bonne largeur. Il existe également sur le marché des modèles spécialement dédiés à cette pratique, qui proposent un revêtement intégral du pont en mousse EVA pour assurer un grand confort d’exécution des postures et de nombreux accessoires pour bloquer la pagaie ou s’amarrer à une plateforme flottante pour une pratique collective.

5. SUP-surf

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Approche originelle du stand up paddle, décrite dans le passé par les explorateurs en Polynésie ou au Pérou (sur le fameux « caballito de totora » en paille), la pratique du paddle dans les vagues fut celle qui permit l’émergence de la discipline (dans sa version moderne) au cours des années 2000 à Hawaï et en Californie.

Si elle demeure un peu moins accessible et populaire que l’approche « balade », la pratique du stand up paddle dans les vagues reste l’une des facettes les plus excitantes de ce sport. Le SUP-surf permet de glisser sur des vagues et d’exploiter un terrain de jeu d’ordinaire réservé aux surfeurs. Cette pratique offre une porte d’entrée idéale pour des passionnés issus d’autres sports nautiques comme le windsurf, le kite, la voile ou le kayak, qui n’ont pas à apprendre à se lever sur une planche (étape cruciale lorsqu’on débute en surf). Par son volume généralement élevé et sa forte longueur, le stand up paddle est un support vraiment efficace pour attraper des petites vagues et garder un maximum de glisse. La position en hauteur apportée par la rame debout permet d’avoir un champ de vision bien supérieur au surf (au ras de l’eau) pour bien anticiper les vagues qui arrivent. La propulsion efficace apportée par la pagaie et la grande mobilité du SUP permettent de se déplacer facilement sur le plan d’eau et partir exploiter des spots éloignés du bord, inaccessibles en surf.

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Quels que soient le niveau de pratique et les vagues fréquentées, l’objectif du SUP-surf est de prendre un maximum de plaisir en glissant sur les vagues, en respectant bien évidemment les autres supports de glisse (surf, bodyboard…) qui partagent le même terrain de jeu. Par ses sensations grisantes et la découverte d’un environnement totalement nouveau, le SUP-surf est une piste d’évolution attractive pour les pratiquants qui maîtrisent déjà tous les éléments techniques du stand up en balade en bord de mer et veulent se lancer un nouveau challenge.

S’il est possible de commencer à glisser tranquillement sur des petites vagues avec une planche gonflable allround, pour aborder cette pratique de façon efficace, il est vivement recommandé d’utiliser préférentiellement une planche rigide allround entre 8’’6 et 10’’6, avec des largeurs de 30’’ à 34’’ et des volumes de 135-180 L. Son design étudié et la présence de véritables rails sculptés de chaque côté, favorisent l’accroche dans les virages et une conduite plus saine dans les vagues.

6. SUP-foil

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Véritable révolution dans les différents sports de glisse nautique depuis 10 ans, le foil s’invita sans surprise également dans le monde du stand up paddle sous l’impulsion de son ambassadeur numéro 1, le prodige hawaïen Kai Lenny (aidé par des années de développement en Bretagne par Bruno André). Comme dans tous les autres sports, l’usage de cette imposante aile sous-marine fixée par un mât sous la planche génère, en avançant, une portance qui permet de faire décoller la planche au-dessus de l’eau. Une fois en l’air, en l’absence de toute force de frottement de l’eau sur la carène, la vitesse de glisse obtenue est incomparablement plus élevée. L’utilisation du foil sous un stand up paddle permet dès lors d’ouvrir de nouvelles portes et d’exploiter, avec un maximum de sensations fortes, des vagues minuscules voire des clapots, insuffisants pour le SUP-surf.

Le SUP-foil ne remplace pas le SUP-surf mais le complète plutôt et peut être véritablement perçu comme une version 2.0 de cette pratique, dédiée aux micro-vagues et aux amateurs de glisse. Cette nouvelle facette du stand up paddle représente une piste d’évolution intéressante pour les pratiquants les plus expérimentés. L’utilisation d’un matériel comportant ces formes si coupantes et anguleuses, nécessite un maximum de prudence et d’humilité ainsi qu’un équipement de protection bien adapté pour les débuts : casque, gilet renforcé sur les côtes, chaussons et combinaison intégrale.

Outre le foil en lui-même, les planches de paddle destinées à cette pratique ont évolué de façon spectaculaire ces cinq dernières années et possèdent généralement des formes très compactes et épaisses pour offrir une maniabilité en l’air optimale, tout en gardant du confort sur l’eau à la rame.

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L’avenir nous réserve encore de nombreuses surprises et le stand up paddle n’a pas fini de se réinventer pour proposer de nouvelles pratiques encore plus originales et terriblement addictives.

Avant de sortir en mer, pensez à consulter les prévisions sur METEO CONSULT Marine pour vos activités nautiques.

L'équipe
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau est l’atout voyage et évasion de l’équipe, elle est passionnée de croisières et de destinations nautiques. En charge du planning rédactionnel du site figaronautisme.com et des réseaux sociaux, Nathalie suit de très près l’actualité et rédige chaque jour des news et des articles pour nous dépayser et nous faire rêver aux quatre coins du monde. Avide de découvertes, vous la croiserez sur tous les salons nautiques et de voyages en quête de nouveaux sujets.
Gilles Chiorri
Gilles Chiorri
Gilles Chiorri
Associant une formation d’officier C1 de la marine marchande et un MBA d’HEC, Gilles Chiorri a sillonné tous les océans lors de nombreuses courses au large ou records, dont une victoire à la Mini Transat, détenteur du Trophée Jules Verne en 2002 à bord d’Orange, et une 2ème place à La Solitaire du Figaro la même année. Il a ensuite contribué à l’organisation de nombreux évènements, comme la Coupe de l’America, les Extreme Sailing Series et des courses océaniques dont la Route du Rhum et la Solitaire du Figaro (directeur de course), la Volvo Ocean Race (team manager). Sa connaissance du monde maritime et son réseau à l’international lui donnent une bonne compréhension du milieu qui nous passionne.
Il collabore avec les équipes de METEO CONSULT et Figaro Nautisme depuis plus de 20 ans.
Sophie Savant-Ros
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Sophie Savant-Ros
Sophie Savant-Ros, architecte de formation et co-fondatrice de METEO CONSULT est entre autres, directrice de l’édition des « Bloc Marine » et du site Figaronautisme.com.
Sophie est passionnée de photographie, elle ne se déplace jamais sans son appareil photo et privilégie les photos de paysages marins. Elle a publié deux ouvrages consacrés à l’Ile de Porquerolles et photographie les côtes pour enrichir les « Guides Escales » de Figaro Nautisme.
Albert Brel
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Albert Brel, parallèlement à une carrière au CNRS, s’est toujours intéressé à l’équipement nautique. Depuis de nombreuses années, il collabore à des revues nautiques européennes dans lesquelles il écrit des articles techniques et rend compte des comparatifs effectués sur les divers équipements. De plus, il est l’auteur de nombreux ouvrages spécialisés qui vont de la cartographie électronique aux bateaux d’occasion et qui décrivent non seulement l’évolution des technologies, mais proposent aussi des solutions pour les mettre en application à bord des bateaux.
Jean-Christophe Guillaumin
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Jean-Christophe Guillaumin
Journaliste, photographe et auteur spécialisé dans le nautisme et l’environnement, Jean-Christophe Guillaumin est passionné de voyages et de bateaux. Il a réussi à faire matcher ses passions en découvrant le monde en bateau et en le faisant découvrir à ses lecteurs. De ses nombreuses navigations il a ramené une certitude : les océans offrent un terrain de jeu fabuleux mais aussi très fragile et aujourd’hui en danger. Fort d’une carrière riche en reportages et articles techniques, il a su se distinguer par sa capacité à vulgariser des sujets complexes tout en offrant une expertise pointue. À travers ses contributions régulières à Figaro Nautisme, il éclaire les plaisanciers, amateurs ou aguerris, sur les dernières tendances, innovations technologiques, et défis liés à la navigation. Que ce soit pour analyser les performances d’un voilier, explorer l’histoire ou décortiquer les subtilités de la course au large, il aborde chaque sujet avec le souci du détail et un regard expert.
Charlotte Lacroix
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Charlotte est une véritable globe-trotteuse ! Très jeune, elle a vécu aux quatre coins du monde et a pris goût à la découverte du monde et à l'évasion. Tantôt à pied, en kayak, en paddle, à voile ou à moteur, elle aime partir à la découverte de paradis méconnus. Elle collabore avec Figaro Nautisme au fil de l'eau et de ses coups de cœur.
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Naviguant depuis son plus jeune âge que ce soit en croisière, en course, au large, en régate, des deux côtés de l’Atlantique, en Manche comme en Méditerranée, Denis, quittant la radiologie rochelaise en 2017, a effectué avec sa femme à bord de PretAixte leur 42 pieds une circumnavigation par Panama et Cape Town. Il ne lui déplait pas non plus de naviguer dans le temps avec une prédilection pour la marine d’Empire, celle de Trafalgar …
Michel Ulrich
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Après une carrière internationale d’ingénieur, Michel Ulrich navigue maintenant en plaisance sur son TARGA 35+ le long de la côte atlantique. Par ailleurs, il ne rate pas une occasion d’embarquer sur des navires de charge, de travail ou de services maritimes. Il nous fait partager des expériences d’expédition maritime hors du commun.
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