Adios y buena fortuna

Solitaire du Figaro
Par Le Figaro Nautisme

C’est avec un corps toujours endolori et un esprit à peine plus reposé que les marins de La Solitaire du Figaro Paprec se sont élancés de Vigo, ce dimanche 21 septembre à 17h13 - après un rappel général puis un rappel individuel pour Hugo Cardon (Sarth'Atlantique). Après avoir réalisé un parcours côtier, positionné à quelques encablures du port espagnol, les skippers ont pris le large pour le dernier opus de cette 56e édition de la course. Alexis Thomas (Wings of the Ocean) remporte le Trophée Paprec, marquant la fin de ce parcours côtier. Direction le nord le long de la côte pour viser le cap Finisterre avant de s’élancer sur une longue traversée vers la chaussée de Sein à la pointe bretonne.

carte de la course La Solitaire en direct
Les skippers ont pris le départ de la dernière étape en direction de Saint-Vaast ©Thomas Campion
C’est avec un corps toujours endolori et un esprit à peine plus reposé que les marins de La Solitaire du Figaro Paprec se sont élancés de Vigo, ce dimanche 21 septembre à 17h13 - après un rappel général puis un rappel individuel pour Hugo Cardon (Sarth'Atlantique). Après avoir réalisé un parcours côtier, positionné à quelques encablures du port espagnol, les skippers ont pris le large pour le dernier opus de cette 56e édition de la course. Alexis Thomas (Wings of the Ocean) remporte le Trophée Paprec, marquant la fin de ce parcours côtier. Direction le nord le long de la côte pour viser le cap Finisterre avant de s’élancer sur une longue traversée vers la chaussée de Sein à la pointe bretonne.

À 17h13 devant le port de Vigo (Espagne), les skippers de La Solitaire du Figaro Paprec se sont élancés sur un parcours côtier d’environ 7 milles, après un rappel général puis un rappel individuel pour Hugo Cardon (Sarth'Atlantique). Une mise en jambe qui a permis aux marins et aux spectateurs de profiter des derniers instants de cette escale express. Avec à peine 48 heures de repos, tous sont encore marqués par la fatigue accumulée par plus de 1200 milles de course depuis le départ de Rouen. Sur un magnifique plan d’eau, poussés par un vent d’une dizaine de nœuds se renforçant au fil de l’après-midi, les skippers ont rapidement pu achever ce parcours côtier et s’éloigner des nombreux bateaux accompagnateurs pour gagner le large.

Le mode solitaire est de nouveau enclenché, les marins sont déjà dans le vif du sujet avec, dès la sortie de la Ria de Vigo, un vent de nord de 20 nœuds qui devrait forcir au fil des heures. Évidemment, avec ce front, la mer est à la hauteur des lieux, près de 3 mètres de vagues sont attendus au large. Les marins disposent toutefois d’un couloir plus maniable situé juste le long de la côte. Quelles seront les options ? Piquer au nord-ouest et se retrouver directement dans le dur ou tirer des bords dans ce couloir d’une dizaine de milles de large jusqu'au cap Finisterre.

Il est certain que tous ont envie de briller pour cette dernière étape en direction de la Normandie et de Saint-Vaast-la-Hougue mais les corps vont une nouvelle fois être mis à rude épreuve dans ces conditions.

À qui profitera le près ?

Deuxième à Vigo derrière Hugo Cardon (Sarth’Atlantique), Alexis Loison (Groupe REEL) a un peu plus conforté son avance au classement général provisoire. Il dispose désormais de 43 minutes et 22 secondes d’avance sur Charlotte Yven (Skipper MACIF 2023) et de 1 heure 7 minutes et 27 secondes sur Arno Biston (Article.1). Pour Charlotte Yven, cette étape sera la dernière sous les couleurs de la Macif. Il est presque certain que la jeune femme ne sera pas spectatrice de sa course et compte bien en être l’une des grandes animatrices, comme elle a coutume de le faire.

Comme à leur habitude, les marins souhaitent faire selon leur ressenti mais il est fort probable, dans ce dernier round, qu’il y aura une grande part de surveillance des leaders pour contrôler tout en jouant la gagne. Après le long bord jusqu’à la chaussée de Sein, point de passage obligatoire pour le sprint intermédiaire de cette troisième étape, il sera déjà très intéressant de voir qui aura réussi à tirer son épingle du jeu dans cette redoutable remontée.

Abandon de Tom Dolan (Kingspan)
Ils n'étaient plus que 32 à prendre le départ de cette dernière étape de La Solitaire du Figaro Paprec, organisée par OC Sport Pen Duick. En début d’après-midi, Tom Dolan (Kingspan), en concertation avec son équipe et son partenaire, a décidé de se retirer de la course. L’Irlandais, engagé pour la huitième fois, ne s'est donc pas aligné au départ de la troisième et ultime manche. Une blessure à l’avant-bras gauche, contractée dès la première nuit du premier acte, a finalement eu raison de sa détermination.
« Ce n’était pas seulement une question de douleur, mais aussi de réalisme et de sécurité. J’aurais pu continuer par orgueil, mais ce n’était pas raisonnable. J’ai préféré préserver ma santé pour mieux revenir. »

Yann Chateau, directeur de course de La Solitaire du Figaro Paprec
« Nous avons débuté par un magnifique parcours dans la Ria de Vigo dans des conditions qui ont commencé à bien s’établir. Après le passage à la bouée Paprec, les marins vont s’engager dans un premier bord le long de la péninsule Ibérique pour aller jusqu'au Cap Finisterre avec un vent de nord et une mer qui montreront crescendo. Les 24 premières heures vont être difficiles et toniques. La suite sera sur ce même schéma jusqu’à la chaussée de Sein, qui annonce la marque du sprint intermédiaire. Plusieurs options se dessinent déjà. Nous risquons de retrouver encore de l'écart latéral dans le golfe de Gascogne et nous aurons le résultat de ces différentes options si elles sont prises, lorsque nous nous rapprocherons de la mer d’Iroise. Les premiers devaient se présenter à la pointe de la Bretagne mercredi dans la matinée. »

Paroles de marins
Alexis Loison (Groupe REEL) : « De prendre le départ de la dernière étape de La Solitaire du Figaro Paprec en étant leader au général c’est tout nouveau pour moi mais je l'accepte volontiers ! Je suis très content d’être à cette position avant le finish. Quand je vois la météo de l’étape, tout reste à faire, je la prends comme une nouvelle étape. Au lieu de me focaliser sur le classement, je vais me concentrer sur la météo et on fera les comptes à Saint-Vaast. Ce n’est pas une étape simple mais de toute façon ça n’existe pas sur La Solitaire ! Sur toute la première partie, le schéma est assez précis et réduit, il faudra tirer des bords le long des côtes espagnoles, quand on arrivera dans le golfe de Gascogne, il pourra y avoir des petits décalages et en Bretagne Nord avec les courants qui entrent en jeu, tout peut changer ! »

Charlotte Yven (Skipper MACIF 2023) : « Je me sens bien, j’ai hâte d’y aller, c’est la dernière de l’année, ma dernière avec Macif, j’ai envie de profiter à fond et essayer de confirmer ce qui a été bien fait jusque là, sans trop de pression et surtout en prenant du plaisir sur l’eau, suivre le plan. J’ai réussi à bien me reposer, à bien optimiser le temps sur cette courte escale, on est bien entouré chez Macif : les préparateurs ont géré tout le bateau, notre cuisinière s’est bien occupée de nous donc on a pu vraiment se concentrer sur notre météo et le repos pour se remettre en course ! »

Victor Le Pape (Région Bretagne - CMB Espoir) : « J’ai hâte de partir pour cette troisième étape, je suis super content de tout le parcours jusqu’ici et j’ai hâte d’arriver à Saint-Vaast-la-Hougue même si l’étape va être compliquée ! J’ai envie de prendre du plaisir, de bien naviguer, de faire comme j’ai fait depuis le début de cette Solitaire, de tenter des coups à jouer, il y a de belles choses à aller chercher. ça serait top de bien conclure cette Solitaire, de rester sur une belle note, un top 10 ça serait bien ! »

Hugo Cardon (Sarth’Atlantique) : « C’est plutôt cool car il y a l’air d’y avoir du vent dans la baie de Vigo donc ça s’annonce bien pour le départ. Sur la remontée, les conditions devraient être musclées, je les affectionne particulièrement ces conditions, ça va être tactique entre jouer à la côte mais pas trop non plus car quand le vent tournera il pourrait y avoir des dévents. Il va y avoir du jeu sur cette première partie de course et ensuite un golfe de Gascogne pas si simple à gérer non plus. Il faudra être frais pour l’arrivée, à partir de l’Occidentale de Sein avec beaucoup de jeu dans le courant et les cailloux et c’est ça que l’on redoute tous un peu ! Je pense que je ne suis pas un des plus fatigués, même si je n’ai pas la fraîcheur du départ c’est sûr, mais je suis content de la manière dont je suis arrivé à Vigo ! »

Jules Ducelier (Région Normandie) : « Je me sens bien, fatigué mais c’est le cas pour tout le monde. On a eu peu de temps de récupération après deux étapes qui ont été longues et très peu de temps de repréparation pour gérer, par exemple, la météo. Je pars tout de même confiant car je sais que que l’on aura l’occasion de dormir lors de la remontée du golfe. L’objectif à l’arrivée en Normandie, c’est de faire une belle navigation, d’être content de moi, d’aller aussi titiller les bateaux de devant avec lesquels il n’y a pas beaucoup d’écarts, du moins assez peu pour jouer un podium. Je vais donc m’atteler à ça. »

Thomas De Dinechin (Almond for Pure Ocean) : « On a eu le temps de se reposer un peu, c’était un peu court mais ça va aller, on a eu deux bonnes nuits et puis il n’y a plus qu’une étape ! On n’a pas eu trop le temps de profiter de la ville, c’est un peu dommage. Jusqu’à maintenant La Solitaire du Figaro Paprec se passe bien, donc je vais essayer de ne pas changer de formule et de rester sur beaucoup de plaisir en mer. Le schéma météo est assez clair jusqu’en Bretagne donc ça devrait rester très groupé, il faudra arriver bien frais dans la Manche où ça va redistribuer. ça devrait être moins compliqué que ce qu’on a vécu sur les deux premières étapes ! »

Yvon Larnicol (Auray - Quiberon by Orlabay) : « Je me sens bien, reposé, j’ai hâte d’y aller, de faire cette dernière étape qui va être longue avec que du près. Il va y avoir des moments cruciaux, donc il faudra bien choisir les moments où se reposer, quand accélérer. Plus tu es devant au départ, mieux c’est, donc il faudra être bon dès le départ, meilleur que les autres. Découvrir, prendre du plaisir et jouer le classement si je vois que je suis bien, voici les objectifs de ce pourquoi je suis là. »

Romain Bouillard (Décrochons la lune) : « Pour être honnête, je ne me sens pas reposé après la toute petite nuit d’arrivée ! Il faut des semaines pour récupérer de sa fatigue. Mais on devrait avoir le temps de se reposer un peu au près. Tout reposera sur la manière de gérer son énergie car les 36 dernières heures de la course vont être déterminantes. L’objectif de cette étape, comme tout compétiteur, c’est de faire du mieux possible. Le rêve, c’est de gagner. Là, je suis conscient que je pars avec beaucoup de retard donc l’idée c’est de rendre la meilleure copie ! C’est une course à la voile, il ne faut pas se fermer les portes, tout est encore possible. »

Chloé Le Bars (Endobreizh) : « Je me sens bien, une escale aussi courte ne nous permet pas de récupérer assez pour avoir le temps d’être fatiguée avant de remonter la pente. Je suis dans l’énergie de l’étape précédente, donc c’est pas mal ! J’ai bien dormi, bien mangé ici. Ça va être une étape bien engagée sur la première partie et puis on finira dans la molle en Bretagne Nord, donc il y a aura du match jusqu'à la fin et j’espère remonter des places ! Je ne suis pas à la place que j'aimerais être au général mais je me dis qu’en faisant du mieux que je peux, en prenant étape par étape, peut-être que ça marchera bien. Je vais me donner à fond en tout cas ! »

Tiphaine Ragueneau (ORCOM) : « C’était une escale courte et je ne suis pas assez reposée à mon goût mais il faut y retourner et on est toujours content de repartir en mer, fatiguée mais hâte d’en découdre sur cette dernière étape. Je me sens forcément plus à l’aise que sur les premières étapes car on a eu pas mal de conditions, j’ai pu prendre confiance dans le bateau. Je suis encore un peu stressée avec l’envie de bien faire et un mélange d’excitation de partir ! »

L'équipe
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau est l’atout voyage et évasion de l’équipe, elle est passionnée de croisières et de destinations nautiques. En charge du planning rédactionnel du site figaronautisme.com et des réseaux sociaux, Nathalie suit de très près l’actualité et rédige chaque jour des news et des articles pour nous dépayser et nous faire rêver aux quatre coins du monde. Avide de découvertes, vous la croiserez sur tous les salons nautiques et de voyages en quête de nouveaux sujets.
Gilles Chiorri
Gilles Chiorri
Gilles Chiorri
Associant une formation d’officier C1 de la marine marchande et un MBA d’HEC, Gilles Chiorri a sillonné tous les océans lors de nombreuses courses au large ou records, dont une victoire à la Mini Transat, détenteur du Trophée Jules Verne en 2002 à bord d’Orange, et une 2ème place à La Solitaire du Figaro la même année. Il a ensuite contribué à l’organisation de nombreux évènements, comme la Coupe de l’America, les Extreme Sailing Series et des courses océaniques dont la Route du Rhum et la Solitaire du Figaro (directeur de course), la Volvo Ocean Race (team manager). Sa connaissance du monde maritime et son réseau à l’international lui donnent une bonne compréhension du milieu qui nous passionne.
Il collabore avec les équipes de METEO CONSULT et Figaro Nautisme depuis plus de 20 ans.
Sophie Savant-Ros
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Sophie Savant-Ros
Sophie Savant-Ros, architecte de formation et co-fondatrice de METEO CONSULT est entre autres, directrice de l’édition des « Bloc Marine » et du site Figaronautisme.com.
Sophie est passionnée de photographie, elle ne se déplace jamais sans son appareil photo et privilégie les photos de paysages marins. Elle a publié deux ouvrages consacrés à l’Ile de Porquerolles et photographie les côtes pour enrichir les « Guides Escales » de Figaro Nautisme.
Albert Brel
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Albert Brel, parallèlement à une carrière au CNRS, s’est toujours intéressé à l’équipement nautique. Depuis de nombreuses années, il collabore à des revues nautiques européennes dans lesquelles il écrit des articles techniques et rend compte des comparatifs effectués sur les divers équipements. De plus, il est l’auteur de nombreux ouvrages spécialisés qui vont de la cartographie électronique aux bateaux d’occasion et qui décrivent non seulement l’évolution des technologies, mais proposent aussi des solutions pour les mettre en application à bord des bateaux.
Jean-Christophe Guillaumin
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Journaliste, photographe et auteur spécialisé dans le nautisme et l’environnement, Jean-Christophe Guillaumin est passionné de voyages et de bateaux. Il a réussi à faire matcher ses passions en découvrant le monde en bateau et en le faisant découvrir à ses lecteurs. De ses nombreuses navigations il a ramené une certitude : les océans offrent un terrain de jeu fabuleux mais aussi très fragile et aujourd’hui en danger. Fort d’une carrière riche en reportages et articles techniques, il a su se distinguer par sa capacité à vulgariser des sujets complexes tout en offrant une expertise pointue. À travers ses contributions régulières à Figaro Nautisme, il éclaire les plaisanciers, amateurs ou aguerris, sur les dernières tendances, innovations technologiques, et défis liés à la navigation. Que ce soit pour analyser les performances d’un voilier, explorer l’histoire ou décortiquer les subtilités de la course au large, il aborde chaque sujet avec le souci du détail et un regard expert.
Charlotte Lacroix
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Charlotte est une véritable globe-trotteuse ! Très jeune, elle a vécu aux quatre coins du monde et a pris goût à la découverte du monde et à l'évasion. Tantôt à pied, en kayak, en paddle, à voile ou à moteur, elle aime partir à la découverte de paradis méconnus. Elle collabore avec Figaro Nautisme au fil de l'eau et de ses coups de cœur.
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Max est tombé dedans quand il était petit ! Il a beaucoup navigué avec ses parents, aussi bien en voilier qu'en bateau moteur le long des côtes européennes mais pas que ! Avec quelques transatlantiques à son actif, il se passionne pour le monde du nautisme sous toutes ses formes. Il aime analyser le monde qui l'entoure et collabore avec Figaro Nautisme régulièrement.
Denis Chabassière
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Naviguant depuis son plus jeune âge que ce soit en croisière, en course, au large, en régate, des deux côtés de l’Atlantique, en Manche comme en Méditerranée, Denis, quittant la radiologie rochelaise en 2017, a effectué avec sa femme à bord de PretAixte leur 42 pieds une circumnavigation par Panama et Cape Town. Il ne lui déplait pas non plus de naviguer dans le temps avec une prédilection pour la marine d’Empire, celle de Trafalgar …
Michel Ulrich
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Après une carrière internationale d’ingénieur, Michel Ulrich navigue maintenant en plaisance sur son TARGA 35+ le long de la côte atlantique. Par ailleurs, il ne rate pas une occasion d’embarquer sur des navires de charge, de travail ou de services maritimes. Il nous fait partager des expériences d’expédition maritime hors du commun.
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METEO CONSULT est un bureau d'études météorologiques opérationnel, qui assiste ses clients depuis plus de 30 ans. Les services de METEO CONSULT reposent sur une équipe scientifique de haut niveau et des moyens techniques de pointe. Son expertise en météo marine est reconnue et ses prévisionnistes accompagnent les plaisanciers, les capitaines de port et les organisateurs de courses au large depuis ses origines : Route du Rhum, Transat en double, Solitaire du Figaro…
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Titulaire d'un doctorat en Climatologie-Environnement, Cyrille est notre expert METEO CONSULT. Après avoir enseigné la climatologie et la géographie à l'université, il devient l'un des météorologues historiques de La Chaîne Météo en intégrant l'équipe en 2000. Spécialiste de la météo marine, il intervient également en tant qu'expert météo marine pour des courses de renommée mondiale, comme la Route du Rhum, la Solitaire du Figaro, la Transat Paprec...
Irwin Sonigo
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Capitaine 200 et ancien embarqué dans la Marine nationale, Irwin Sonigo a exploré toutes les facettes de la navigation. Des premiers bords sur un cotre aurique de 1932 à la grande plaisance sur la Côte d’Azur, en passant par les catamarans de Polynésie, les voiliers des Antilles ou plusieurs transatlantiques, il a tout expérimenté. Il participe à la construction d’Open 60 en Nouvelle-Zélande et embarque comme boat pilote lors de la 32e America’s Cup. Aujourd’hui, il met cette riche expérience au service de Figaro Nautisme, où il signe des essais et reportages ancrés dans le réel.