Le trio VPLP, le Quément, Nauta nous surprend à chaque nouvelle unité, par leur utilisation de l’espace, des lignes à la simplicité recherchée, et les innovations apportées. C’est ici une banquette réversible sur la poutre arrière, là un espace bar judicieusement situé entre carré et cockpit avant. A l’intérieur, l’intégration des systèmes (climatisation, sonorisation, lumières indirectes, portes cockpit/carré à galandage…) est particulièrement soignée. Plus haut, le bimini de flybridge s’ouvre comme un cabriolet, sur un aménagement au choix du propriétaire. Notez que la version proposée en partenariat avec la société Tribu, offre une ambiance lounge, très contemporaine, très séduisante, à l’image de la "terrasse" avant exposée à Cannes.
Tant par les dimensions des espaces (cabine propriétaire, salon, cuisine…), que par le choix des matériaux, la forme des meubles, on se sent comme à la maison. Et cela tombe parfaitement bien car l’autonomie permet d’envisager de longs séjours à bord. Les 5 550 litres de gasoil permettent une autonomie allant de 1800 Miles à 10 nœuds avec les Volvo 330 CV à 3000 Miles à 8 nœuds en Yanmar 440 CV.
Disponible en quatre, cinq ou six cabines, avec cuisine en nacelle ou à l’arrière de la coque bâbord, le Sixty 7 s’adresse en priorité à des propriétaires. Mais ceux-ci pourront aisément le proposer en charter luxueux avec équipage, à la manière des SuperYachts. À 1 978 000 € HT en standard, le nouvel entrant s’intercale parfaitement au sein de la gamme, mais il progresse encore sur bien des points. Une évolution dont la version voile, le Sixty 5, attendu au printemps 2020, bénéficiera également.
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