Voyager hors saison : les meilleures périodes pour découvrir le monde autrement

Par Le Figaro Nautisme

Choisir de voyager hors saison, c’est redécouvrir le plaisir du temps, du calme et de la vraie rencontre. Quand les foules s’éloignent, les prix chutent, la nature respire et les habitants retrouvent leur place. D’un continent à l’autre, les périodes creuses ne se ressemblent pas, mais toutes offrent la même promesse : celle d’un voyage plus libre, plus doux et souvent plus mémorable.

Moins de monde, plus d’expérience

Le premier avantage saute aux yeux : les prix. Hors des pics touristiques, les billets d’avion et les hébergements chutent parfois de 30 à 60 %. Les compagnies aériennes remplissent leurs avions à moindre coût, les hôtels multiplient les offres, et les sites culturels baissent parfois leurs tarifs d’entrée.
Mais au-delà des économies, c’est la qualité du séjour qui change. Les musées deviennent accessibles sans files d’attente, les plages respirent, et les habitants retrouvent le temps d’échanger. En Corse, à Santorin ou à Bali, certains locaux expliquent même « redécouvrir leur île » quand les visiteurs se font rares.
Enfin, le hors-saison est un geste durable : voyager en dehors des pics limite la pression sur les infrastructures, les ressources en eau et la biodiversité.

Europe : la douceur des saisons retrouvées

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L’Europe se prête mieux que tout autre continent au voyage hors saison. Les contrastes de climat et de paysages permettent de trouver, à tout moment de l’année, une région accueillante. Les grandes capitales deviennent plus accessibles, les musées respirent et les villages reprennent vie après la haute saison.

Espagne - d’octobre à mars
Les mois d’hiver dévoilent une Espagne lumineuse et vivante, loin des chaleurs écrasantes. L’Andalousie est particulièrement agréable : Séville et Grenade se découvrent dans une atmosphère détendue, les hébergements sont bien moins chers et les files d’attente disparaissent. Madrid garde une activité culturelle intense et, sur la côte méditerranéenne, Valence et Alicante bénéficient encore de journées à 20 °C. Dans les îles Canaries, le thermomètre ne descend jamais sous 22 °C, ce qui permet de profiter de la plage toute l’année.

Italie - de novembre à mars
Les mois d’hiver transforment l’Italie : les ruelles de Florence ou de Venise redeviennent praticables, les galeries d’art se visitent sans affluence et la gastronomie prend toute sa place. À Rome, les sites antiques s’explorent sans files interminables. Dans le sud, Naples, les Pouilles et la Sicile conservent un climat doux et une lumière superbe. Le mont Etna enneigé domine Catane, et les marchés d’hiver regorgent de produits locaux.

Grèce - d’octobre à avril
La Grèce connaît une fréquentation bien moindre à cette période. Athènes s’apprécie dans une atmosphère plus locale, les tavernes rouvrent aux habitués et les sites antiques ne sont plus saturés. En Crète ou à Rhodes, le climat reste agréable, et certains hôtels rouvrent spécifiquement pour les voyageurs européens cherchant la douceur. Les tarifs aériens chutent fortement, parfois de moitié.

Portugal - d’octobre à mars
Lisbonne, Porto et Coimbra connaissent une atmosphère apaisée. Les tramways se vident, les ruelles résonnent à nouveau des conversations portugaises, et la côte atlantique séduit les surfeurs. L’Algarve, moins fréquentée, garde un soleil généreux et des températures proches de 18 °C. Les prix sont nettement inférieurs à ceux de l’été, aussi bien pour les hébergements que pour les restaurants.

Europe du Nord - de novembre à mars
C’est la saison des lumières et du silence. En Islande, la neige recouvre les paysages lunaires, les cascades gèlent et les hébergements deviennent abordables. En Norvège, les fjords se teintent de bleu profond et les croisières hivernales permettent d’approcher la côte sous une lumière unique. En Finlande et en Suède, les safaris à motoneige ou les séjours dans les igloos de verre attirent un public plus restreint mais passionné. Les tarifs aériens sont bas et les villes nordiques accueillantes, souvent parées pour Noël.

Asie : voyager entre averses et lumière tropicale

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L’Asie offre une grande diversité de climats, et donc de basses saisons. Dans la majorité des pays tropicaux, la mousson marque une accalmie touristique : les averses, souvent brèves, laissent place à des paysages luxuriants et à une ambiance bien plus locale.

Thaïlande - de mai à octobre
La mousson ne dure jamais toute la journée, et les matinées sont souvent ensoleillées. Bangkok retrouve un rythme plus tranquille, les marchés flottants sont moins bondés et les temples plus accessibles. Dans le nord, Chiang Mai et Chiang Rai profitent de paysages verdoyants. Les îles du golfe, comme Koh Samui, sont partiellement abritées et restent agréables. Les hôtels appliquent des réductions importantes, parfois jusqu’à 60 %.

Vietnam - de mai à septembre
Les pluies tombent surtout le soir, laissant le reste de la journée libre pour explorer. Le sud (Saigon, delta du Mékong) conserve un ciel lumineux, tandis que le centre, autour de Hué et Hoi An, se couvre de nuages sans excès de pluie. Les tarifs des croisières dans la baie d’Halong et des circuits culturels chutent sensiblement.

Cambodge - de juillet à septembre
Les averses rendent les paysages magnifiques : rizières éclatantes, temples d’Angkor enveloppés de brume, villages plus calmes. Les hébergements sont peu remplis et la circulation plus fluide. C’est une période idéale pour découvrir le pays sans les bus touristiques.

Indonésie (Bali) - d’avril à juin et de septembre à octobre
Les intersaisons sont les meilleurs moments pour explorer Bali. La météo est stable, les rizières d’un vert intense et la mer chaude. Les hôtels et les spas proposent des offres attractives, et les plages de Sanur ou Amed sont presque désertes. L’île conserve toute son activité culturelle, avec des cérémonies et des marchés locaux tout au long de l’année.

Japon - de novembre à mars
L’hiver japonais, froid mais sec, transforme l’ambiance du pays. Kyoto et Nara se couvrent d’un voile de neige, Tokyo retrouve une fluidité rare, et les sites culturels s’admirent sans cohue. Les amateurs de montagne profitent de la poudreuse de Nagano, tandis que les hébergements urbains appliquent des baisses de prix notables.

Chine - de novembre à mars
Les températures baissent fortement, mais les grands sites touristiques - la Cité interdite, la Grande Muraille, les jardins de Suzhou - sont accessibles sans file d’attente. À Shanghai et Canton, le climat reste doux. Les prix des vols intérieurs et des hôtels chutent de plus de 40 %.

Sri Lanka - de mai à septembre
La mousson touche surtout la côte sud-ouest, tandis que la côte est (Trincomalee, Arugam Bay) reste ensoleillée. Les tarifs hôteliers sont divisés par deux, les plantations de thé resplendissent et les parcs nationaux sont moins fréquentés.

Amérique du Nord et Caraïbes : entre hiver paisible et chaleur lointaine

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Sur ce vaste ensemble, la basse saison varie fortement selon les latitudes. Dans le nord, elle correspond à l’hiver, de novembre à mars, période plus froide mais propice aux tarifs réduits et aux découvertes culturelles. Plus au sud, dans les zones tropicales comme la Floride, Hawaï, le Mexique ou les Caraïbes, elle s’étend du printemps à la fin de l’automne, avec davantage d’humidité mais une affluence nettement moindre.

États-Unis - de novembre à mars
Les grandes villes de la côte Est, comme New York, Boston ou Washington, se couvrent de neige et retrouvent un rythme apaisé. Les tarifs hôteliers chutent hors périodes de fêtes, et les musées sont presque déserts. À l’ouest, Los Angeles et San Francisco profitent d’un hiver doux, idéal pour visiter les parcs californiens. Dans le sud, la Floride attire ceux qui cherchent la chaleur sans foule.

Hawaï - d’avril à début juin et de septembre à mi-décembre
Entre deux pics touristiques, l’archipel retrouve son équilibre. Les plages de Maui et Kauai sont moins fréquentées, la mer reste chaude et la météo stable. Les surfeurs profitent de vagues régulières, les randonneurs des sentiers verdoyants. Les tarifs aériens et les vols inter-îles baissent sensiblement.
Canada - de novembre à avril
Le pays vit alors au rythme de la neige et des festivals d’hiver. Montréal et Québec se parent de décorations, et les Rocheuses offrent un cadre spectaculaire. Toronto et Vancouver restent plus douces, idéales pour une escapade urbaine. Les prix des hôtels baissent après les fêtes et ne remontent qu’au printemps.

Mexique - de mai à mi-décembre
La chaleur augmente, mais la mer reste magnifique. Cancún, Tulum ou Playa del Carmen retrouvent une ambiance paisible. Dans le centre, Mexico et Puebla offrent une atmosphère plus locale et des températures agréables. Sur la côte Pacifique, Puerto Vallarta et Mazatlán sont parfaites pour un séjour à moindre coût.

Caraïbes - de mai à mi-décembre
C’est la saison la plus avantageuse financièrement. Le climat reste chaud, autour de 28 °C, avec quelques averses rapides. Cuba, la République dominicaine et les îles françaises connaissent alors leur creux touristique. Les hôtels réduisent leurs tarifs et les plages sont presque vides. Seule la période cyclonique d’août à octobre demande une vigilance accrue.


Amérique du Sud : l’autre visage de l’hiver austral

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Dans l’hémisphère sud, la basse saison correspond généralement à l’hiver austral, de mai à septembre. Les températures se rafraîchissent, mais les sites touristiques se vident et les prix chutent.

Brésil - de mai à novembre
L’hiver tropical est sec et lumineux. Rio de Janeiro reste animée, Salvador de Bahia accueille moins de touristes, et le Pantanal devient idéal pour observer les jaguars et les oiseaux. Les températures tournent autour de 25 °C et les hôtels affichent des réductions importantes.

Argentine - de mai à août
À Buenos Aires, l’hiver est doux et les rues plus paisibles. Dans le sud, la Patagonie se couvre de neige mais garde son caractère spectaculaire. Mendoza et ses vignobles sont superbes à cette période, et les prix des vols intérieurs chutent.

Pérou - de mai à septembre
La saison sèche andine offre un ciel limpide et des paysages grandioses. Cuzco, Arequipa et la vallée Sacrée se découvrent plus calmement, et les hébergements appliquent des tarifs allégés. Sur la côte, Lima reste ensoleillée.

Chili - de mai à septembre
Les Andes attirent les skieurs, tandis que le désert d’Atacama et la Patagonie offrent des conditions exceptionnelles pour la photo. Moins de visiteurs, plus d’espace et des prix bien inférieurs à ceux de l’été austral.


Afrique : la nature en pause, les safaris apaisés

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Les climats très contrastés du continent déterminent des basses saisons différentes selon les régions. C’est souvent la période la plus intéressante : la nature reverdit, les lodges baissent leurs tarifs et les rencontres deviennent plus authentiques.

Maroc - de novembre à février
Les températures oscillent entre 18 et 22 °C, idéales pour explorer Marrakech, Fès ou Essaouira sans chaleur excessive. Le tourisme local ralentit et les prix baissent nettement après les fêtes.

Égypte - de juin à août
C’est la basse saison estivale : la chaleur dépasse 35 °C, mais les sites comme Louxor ou Abou Simbel sont presque déserts. Les croisières sur le Nil sont proposées à des tarifs réduits et les vols intérieurs plus abordables.

Kenya et Tanzanie - de mars à juin et d’octobre à décembre
Les "petites pluies" transforment les savanes, les tarifs chutent et la lumière devient spectaculaire. Moins de monde dans les parcs, plus de temps pour observer la faune : une autre manière de vivre le safari.

Afrique du Sud - d’avril à septembre
L’hiver austral apporte un climat sec et clair, idéal pour l’observation des animaux. Au Cap, les vignobles et la côte offrent une lumière exceptionnelle. Les prix des hébergements baissent de 30 à 40 %.

Namibie et Botswana - de décembre à avril
Les paysages deviennent verdoyants, la faune plus active et la fréquentation quasi nulle. Les routes sont praticables et les parcs magnifiques sous la pluie.

Océanie : l’hiver austral au grand air

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Dans cette partie du monde, la basse saison coïncide avec l’hiver austral, de juin à août. Les températures restent clémentes et les paysages gagnent en douceur.

Australie - de juin à août
À Sydney ou Brisbane, l’hiver affiche 20 °C en moyenne. Les plages se vident, les routes sont plus fluides et les parcs nationaux respirent. Dans le nord, autour de Cairns et Darwin, la saison sèche rend les conditions parfaites pour la plongée ou la randonnée.

Nouvelle-Zélande - de juin à août
L’île du Sud attire les amateurs de ski et de montagnes, tandis que l’île du Nord garde une météo tempérée. Les routes sont libres, les hébergements abordables et les paysages, plus saisissants que jamais.

Voyager hors saison, c’est renouer avec l’essence du voyage : le calme, la liberté et la curiosité. Partir quand les autres restent chez eux, c’est voir les mêmes lieux sous un autre jour, goûter à la vraie hospitalité et profiter de la beauté sans agitation. Le monde s’offre différemment quand il se donne à moitié prix.

Et avant de partir, pensez à consulter les prévisions météo sur La Chaîne Météo Voyage et à télécharger l'application mobile gratuite Bloc Marine.

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Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau est l’atout voyage et évasion de l’équipe, elle est passionnée de croisières et de destinations nautiques. En charge du planning rédactionnel du site figaronautisme.com et des réseaux sociaux, Nathalie suit de très près l’actualité et rédige chaque jour des news et des articles pour nous dépayser et nous faire rêver aux quatre coins du monde. Avide de découvertes, vous la croiserez sur tous les salons nautiques et de voyages en quête de nouveaux sujets.
Gilles Chiorri
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Associant une formation d’officier C1 de la marine marchande et un MBA d’HEC, Gilles Chiorri a sillonné tous les océans lors de nombreuses courses au large ou records, dont une victoire à la Mini Transat, détenteur du Trophée Jules Verne en 2002 à bord d’Orange, et une 2ème place à La Solitaire du Figaro la même année. Il a ensuite contribué à l’organisation de nombreux évènements, comme la Coupe de l’America, les Extreme Sailing Series et des courses océaniques dont la Route du Rhum et la Solitaire du Figaro (directeur de course), la Volvo Ocean Race (team manager). Sa connaissance du monde maritime et son réseau à l’international lui donnent une bonne compréhension du milieu qui nous passionne.
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Sophie Savant-Ros, architecte de formation et co-fondatrice de METEO CONSULT est entre autres, directrice de l’édition des « Bloc Marine » et du site Figaronautisme.com.
Sophie est passionnée de photographie, elle ne se déplace jamais sans son appareil photo et privilégie les photos de paysages marins. Elle a publié deux ouvrages consacrés à l’Ile de Porquerolles et photographie les côtes pour enrichir les « Guides Escales » de Figaro Nautisme.
Albert Brel
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Albert Brel, parallèlement à une carrière au CNRS, s’est toujours intéressé à l’équipement nautique. Depuis de nombreuses années, il collabore à des revues nautiques européennes dans lesquelles il écrit des articles techniques et rend compte des comparatifs effectués sur les divers équipements. De plus, il est l’auteur de nombreux ouvrages spécialisés qui vont de la cartographie électronique aux bateaux d’occasion et qui décrivent non seulement l’évolution des technologies, mais proposent aussi des solutions pour les mettre en application à bord des bateaux.
Jean-Christophe Guillaumin
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Journaliste, photographe et auteur spécialisé dans le nautisme et l’environnement, Jean-Christophe Guillaumin est passionné de voyages et de bateaux. Il a réussi à faire matcher ses passions en découvrant le monde en bateau et en le faisant découvrir à ses lecteurs. De ses nombreuses navigations il a ramené une certitude : les océans offrent un terrain de jeu fabuleux mais aussi très fragile et aujourd’hui en danger. Fort d’une carrière riche en reportages et articles techniques, il a su se distinguer par sa capacité à vulgariser des sujets complexes tout en offrant une expertise pointue. À travers ses contributions régulières à Figaro Nautisme, il éclaire les plaisanciers, amateurs ou aguerris, sur les dernières tendances, innovations technologiques, et défis liés à la navigation. Que ce soit pour analyser les performances d’un voilier, explorer l’histoire ou décortiquer les subtilités de la course au large, il aborde chaque sujet avec le souci du détail et un regard expert.
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Charlotte est une véritable globe-trotteuse ! Très jeune, elle a vécu aux quatre coins du monde et a pris goût à la découverte du monde et à l'évasion. Tantôt à pied, en kayak, en paddle, à voile ou à moteur, elle aime partir à la découverte de paradis méconnus. Elle collabore avec Figaro Nautisme au fil de l'eau et de ses coups de cœur.
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Naviguant depuis son plus jeune âge que ce soit en croisière, en course, au large, en régate, des deux côtés de l’Atlantique, en Manche comme en Méditerranée, Denis, quittant la radiologie rochelaise en 2017, a effectué avec sa femme à bord de PretAixte leur 42 pieds une circumnavigation par Panama et Cape Town. Il ne lui déplait pas non plus de naviguer dans le temps avec une prédilection pour la marine d’Empire, celle de Trafalgar …
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Après une carrière internationale d’ingénieur, Michel Ulrich navigue maintenant en plaisance sur son TARGA 35+ le long de la côte atlantique. Par ailleurs, il ne rate pas une occasion d’embarquer sur des navires de charge, de travail ou de services maritimes. Il nous fait partager des expériences d’expédition maritime hors du commun.
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Titulaire d'un doctorat en Climatologie-Environnement, Cyrille est notre expert METEO CONSULT. Après avoir enseigné la climatologie et la géographie à l'université, il devient l'un des météorologues historiques de La Chaîne Météo en intégrant l'équipe en 2000. Spécialiste de la météo marine, il intervient également en tant qu'expert météo marine pour des courses de renommée mondiale, comme la Route du Rhum, la Solitaire du Figaro, la Transat Paprec...
Irwin Sonigo
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Irwin Sonigo
Capitaine 200 et ancien embarqué dans la Marine nationale, Irwin Sonigo a exploré toutes les facettes de la navigation. Des premiers bords sur un cotre aurique de 1932 à la grande plaisance sur la Côte d’Azur, en passant par les catamarans de Polynésie, les voiliers des Antilles ou plusieurs transatlantiques, il a tout expérimenté. Il participe à la construction d’Open 60 en Nouvelle-Zélande et embarque comme boat pilote lors de la 32e America’s Cup. Aujourd’hui, il met cette riche expérience au service de Figaro Nautisme, où il signe des essais et reportages ancrés dans le réel.