À fleur d’océan, l’archipel des îles de Guadeloupe égrène ses six terres baignées de lumière et de traditions. Pour les plaisanciers, c’est une invitation rare à conjuguer navigation douce, escales gourmandes et rencontres sincères. Dans ce décor somptueux, le slow tourisme s’impose comme une évidence, entre respect de la nature et découvertes au fil de l’eau.

Les Îles de Guadeloupe : six escales d'exception

Entre Atlantique et mer des Caraïbes, les îles de Guadeloupe composent une partition vibrante où chaque île dévoile son caractère propre. Un écrin pour la navigation douce et la découverte attentive, au rythme d’un slow tourisme respectueux et inspiré.

Basse-Terre : la grande sauvage

À l’ouest de l’archipel, Basse-Terre est un hymne à la nature primaire. Sous le regard majestueux de la Soufrière, volcan actif qui coiffe l’île de ses panaches de brume, la forêt tropicale s’étend à perte de vue, irriguée de rivières cristallines et ponctuée de cascades vertigineuses. Les habitants, fiers de leur terre, cultivent un accueil sincère, imprégné d’une tradition créole où l’âme des premiers peuplements se mêle aux rythmes caribéens. Ici, la navigation s’associe volontiers à la randonnée, dans un équilibre parfait entre mer et montagne.

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Cascade aux ecrevisses, Petit-Bourg, Basse-Terre © Aurelien Brusini

Grande-Terre : culture, plages et villages colorés

Face à Basse-Terre, Grande-Terre offre un tout autre relief : plus sèche, plus calcaire, elle déroule ses paysages de lagons translucides, de plages blondes bordées de cocotiers et de villages animés aux façades colorées. À l’intérieur, les champs de canne à sucre ondulent à perte de vue et les marchés regorgent de fruits tropicaux, d’épices et de rhums arrangés.

Au nord de la Grande-Terre, les falaises sculptées par les alizés alternent avec des plages paisibles aux airs de bout du monde. À Port-Louis, le sable blanc s’étire le long d’une mer turquoise, tandis que les eaux de l’Anse du Souffleur séduisent les plaisanciers en quête d’escales préservées. Au sud de la Grande-Terre, Sainte-Anne incarne toute la douceur des Antilles : mouillages paisibles face à un lagon cristallin, marchés aux épices, plages bordées de cocotiers, et food trucks qui animent les soirées sur le front de mer. Le charme opère aussi plus à l’est, notamment au Moule, où le marché du centre-ville déborde de fruits tropicaux, de punchs maison et de senteurs créoles.

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Etal de confitures locales sur le marche de Sainte-Anne © Aurelien Brusini

Marie-Galante : « l’île aux cent moulins »

Surnommée la « Grande Galette » pour sa forme plate et ronde, Marie-Galante semble suspendue dans le temps. Ici, les distilleries artisanales perpétuent l’excellence d’un rhum réputé parmi les meilleurs au monde, et les champs de canne au vent racontent l’histoire d’un passé agricole toujours vivant. À Grand-Bourg, Capesterre ou Saint-Louis, les rencontres sont chaleureuses, empreintes d’un respect profond pour la nature et les traditions. Ses plages, immenses et souvent désertes, invitent à ralentir, à se laisser porter par le bruit du vent et des vagues dans une communion parfaite avec les éléments.

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Marie-Galante et ses moulins© B. Dequenne

La Désirade : l’écrin préservé

À quelques milles nautiques de Grande-Terre, La Désirade se livre à ceux qui prennent le temps de l’approcher. Ancienne terre d’exil devenue sanctuaire naturel, elle abrite une réserve géologique unique et des fonds marins d’une richesse exceptionnelle. Les falaises au nord, battues par l’Atlantique, contrastent avec les plages abritées au sud, bordées par la barrière de corail. Moins fréquentée, La Désirade séduit par son authenticité brute et par la gentillesse de ses habitants, fiers protecteurs d’un patrimoine naturel fragile et d’un art de vivre sans artifice. Les pêcheurs de l’île, dont le savoir-faire est reconnu à travers tout l’archipel, incarnent cette relation intime à la mer : chaque jour, ils perpétuent une tradition vivante, dans un respect profond des cycles marins.

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La Desirade Plage de Beausejour© Emma Gattuso


Terre-de-Haut, Les Saintes : la perle du sud

Classée parmi les Plus Belles Baies du Monde, Terre-de-Haut est une escale de rêve pour les navigateurs. Ses maisons créoles aux façades colorées, son bourg animé et son ambiance joyeuse en font un joyau singulier, entre élégance insulaire et traditions maritimes. Le fort Napoléon veille sur l’île, tandis que les sentiers dévoilent des panoramas à couper le souffle. Entre plongée sous-marine et dégustation de tourments d’amour - la pâtisserie emblématique -, Terre-de-Haut conjugue tous les plaisirs, dans un accueil à la fois simple, raffiné et profondément humain.

Terre-de-Bas, Les Saintes : le refuge intime

En retrait, Terre-de-Bas incarne l’authenticité la plus pure des Îles de Guadeloupe. Ici, pas de faste : seulement la beauté naturelle de plages sauvages, de sentiers secrets et de villages où le temps semble s’écouler autrement. Grande Anse et ses eaux claires abrite tortues et coraux, à explorer en nage libre. Les habitants, attachés à leur île et à ses coutumes, partagent volontiers leur quotidien dans une atmosphère conviviale et discrète. Terre-de-Bas est une escale précieuse pour qui recherche la simplicité vraie et la chaleur humaine sans fard.

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Fort Napoleon, Les Saintes © B. Dequenne

Naviguer dans l'archipel guadeloupéen : l'itinéraire rêvé

Aux îles de Guadeloupe, la navigation s’écrit au rythme d’escales authentiques et d’excursions terrestres savoureuses, dessinant une boucle idéale en sept nuits entre mer turquoise, forêts luxuriantes et villages colorés.

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Plage de Riviere-Sens a Gourbeyre, Guadeloupe © Guillaume Aricique

Jour 1 : Embarquement au cœur de l’archipel

À l’arrivée à l’aéroport Guadeloupe - Maryse Condé, un transfert rapide mène à la marina de Bas-du-Fort, près de Pointe-à-Pitre. Le bateau devient alors le fil conducteur de l’aventure. Après l’installation et l’avitaillement, la soirée s’offre entre dîner au bord de l’eau - Le Jiss, Coco Café ou La Route du Rhum - et préparatifs pour larguer les amarres dès l’aube.

Jour 2 : Premiers bords vers Marie-Galante

Cap au sud-est pour rejoindre Marie-Galante, l’Anse Canot en ligne de mire après 20 milles de navigation tranquille. Sur place, l’annexe permet d’explorer discrètement les environs : paddle sur la rivière du Vieux Fort avec le CISMAG, baignades dans une eau limpide, couchers de soleil en apothéose. La nuit s’amarre au port de Saint-Louis, sous les étoiles.

Jour 3 : Immersion à Marie-Galante

À l’aube, quelques milles suffisent pour rejoindre le port de Saint-Louis. Une journée à terre dévoile l’âme de l’île : balade à vélo électrique, visite des distilleries Bellevue, Bielle ou Poisson, et découverte des habitations anciennes comme Murat ou Gagneron. Le soir, les tables de Grand-Bourg (La Table du Père Labat, Le Murat) régalent d’une cuisine fusion, semi-gastronomique.

Jour 4 : Cap sur Les Saintes

La traversée vers Terre-de-Haut, dans l’archipel des Saintes, se savoure en 18 milles. Une première halte à l’îlet Cabrit invite au snorkeling ou à un baptême de plongée. Après une courte navigation vers Le Bourg, mouillage dans la sublime baie de Terre-de-Haut, classée parmi les Plus Belles Baies du Monde. La soirée s’étire sur le pont, face à un décor d’exception.

Jour 5 : Terre-de-Haut et Terre-de-Bas, l’échappée belle

Au matin, golf carts et vélos électriques permettent d’explorer Terre-de-Haut : visite du Fort Napoléon et de ses jardins de cactus, flânerie dans les ruelles parfumées de bougainvillées. En fin de matinée, cap sur Terre-de-Bas, plus sauvage. Après un déjeuner typique chez Eugénette, la plage de Grande Anse offre des rencontres inoubliables avec les tortues. Retour au mouillage de Terre-de-Haut pour une dernière nuit bercée par l’alizé.

Jour 6 : L’appel de la Basse-Terre

Une courte navigation mène à la marina de Rivière-Sens, à Gourbeyre. La journée s’ouvre sur une palette d’excursions : ascension douce de la Soufrière, balades vers cascades et rivières tropicales avec Vert Intense, ou visite du Fort Delgrès, mémoire vive de la résistance guadeloupéenne. En soirée, un bokit dégusté sur le boulevard maritime de Basse-Terre prolonge l’immersion locale.

Jour 7 : Retour vers Pointe-à-Pitre, escale culturelle

Au matin, cap vers le Petit Cul-de-Sac Marin : mouillage près de l’îlet à Cochons ou de La Pointe, au cœur de Pointe-à-Pitre. La visite du Mémorial ACTe, centre caribéen d’expressions et de mémoire de la traite négrière, s’impose. C’est un lieu unique dans la Caraïbe, incontournable pour comprendre l’histoire de l’archipel. Avant de clore la croisière, une balade dans la ville entre street art, marché aux épices et rythmes de GwoKa permet de ressentir l’effervescence créative de Pointe-à-Pitre.

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Memorial ACTe© Guillaume Aricique

Jour 8 : Derniers instants

Après une courte navigation vers la marina de Bas-du-Fort, l’heure est à la remise du bateau et au transfert vers l’aéroport. Mais l’esprit, lui, reste habité par la beauté de l’archipel, ses habitants et ses promesses d’évasion.

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© B. Dequenne

Naviguer responsable : préserver les trésors des Îles de Guadeloupe

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Marina du Gosier© Aurelien Brusini


Aux îles de Guadeloupe, la mer est bien plus qu’un terrain de jeu, c’est un patrimoine vivant que chaque plaisancier se doit de protéger. Respect des réglementations, bons réflexes en mer et à terre, engagement pour la nature : ici, naviguer s’apprend aussi avec le cœur.

Avant de larguer les amarres : sécurité et anticipation

Avant toute sortie, il est essentiel de vérifier les conditions météo - notamment en période cyclonique - auprès de sources fiables comme METEO CONSULT Marine. S’assurer du bon état du matériel de sécurité (gilets de sauvetage, VHF, balises de détresse) est un impératif, tout comme prévenir un proche de son plan de navigation. La réglementation en vigueur impose d’être particulièrement vigilant : conformément à l’arrêté préfectoral n°2018-116, une navigation responsable commence dès le port.

Sur l’eau : respecter les espaces partagés

Naviguer dans l’archipel demande une attention constante :
- Vitesse limitée à cinq nœuds dans la bande côtière des 300 mètres pour garantir la sécurité des baigneurs.
- Jet-skis et engins motorisés doivent emprunter une trajectoire autant que possible perpendiculaire au rivage, avec une vitesse limitée à 5 noeuds (9 km/h).
- Interdiction du ski nautique et des activités tractées dans cette même bande côtière.
- Plongées individuelles signalées par la traditionnelle bouée rouge et blanche.

Les mouillages doivent privilégier les zones aménagées pour éviter de détériorer les herbiers et coraux. Les nouvelles installations de mouillages écologiques, notamment à Port-Louis, Bouillante et Terre-de-Haut, offrent une alternative respectueuse pour les plaisanciers soucieux de leur impact.

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© B. Dequenne

À terre : favoriser le slow tourisme

Toucher terre dans les îles de Guadeloupe, c’est entrer en territoire d’âmes et de traditions. Le respect des balisages de baignade, la réduction de son empreinte sonore et le respect des écosystèmes fragiles (plages, mangroves, récifs) participent à l’harmonie du lieu. L’engagement passe aussi par des gestes simples : soutenir l’économie locale en se ravitaillant dans les marchés et commerces des îles, limiter les déchets plastiques, découvrir les cultures et savoir-faire avec humilité.

Pour faciliter cette approche durable et intelligente, l’application Hello Guadeloupe, pensée pour les navigateurs écoresponsables, propose cartes interactives, conseils et points d’intérêt. Elle sera votre compagnon de voyage intelligent lors de votre séjour dans l’archipel : bons plans, activités, restaurants, hébergements... toute l’offre touristique de Guadeloupe dans votre poche.

Entre traditions maritimes et grandes aventures : l'âme nautique des îles de Guadeloupe

Depuis toujours, les Îles de Guadeloupe vibrent au rythme de la mer. Entre savoir-faire ancestral et exploits modernes, l’archipel entretient une relation intime avec l’océan, où la voile est bien plus qu’un loisir : une identité vivante.

La voile traditionnelle, fierté de l’archipel

Chaque année, les côtes guadeloupéennes s’embrasent sous les voiles multicolores du Traditour, une régate unique dédiée aux canots saintois, barques de pêche traditionnelle issue du savoir-faire des charpentiers de marine d’origine bretonne, installés aux Saintes au XVIIème siècle. Cette course, dont le thème est « Lespri Karayib » cette année et qui se tiendra du 3 au 13 juillet prochain, incarne l’essence des îles de Guadeloupe : audace, solidarité et lien viscéral à la mer. Naviguer lors du Traditour, c’est renouer avec des techniques ancestrales transmises de génération en génération. Les équipages, souvent composés de passionnés ou de professionnels de la mer, rivalisent d’adresse et de stratégie dans une atmosphère festive, vibrante de musique créole et de convivialité. Chaque escale devient une fête populaire où se mêlent traditions maritimes, gastronomie locale et célébration collective.

La Route du Rhum - Destination Guadeloupe 2026 : le grand frisson

Aux antipodes du Traditour par sa démesure, mais tout aussi ancré dans l’âme guadeloupéenne, la Route du Rhum - Destination Guadeloupe offre tous les quatre ans un spectacle hors normes. En 2026, les skippers de renom et les aventuriers solitaires convergeront à nouveau vers Pointe-à-Pitre après une traversée de l’Atlantique en solitaire depuis Saint-Malo. Pour les îles de Guadeloupe, accueillir l’arrivée de la Route du Rhum est bien plus qu’une tradition : c’est un véritable hommage à leur histoire maritime et une immense fête populaire. Pendant plusieurs semaines, Pointe-à-Pitre devient le centre du monde nautique, dans une effervescence unique où se croisent courses, concerts, marchés artisanaux et animations culturelles. Au-delà de la compétition, la Route du Rhum - Destination Guadeloupe est une vitrine exceptionnelle pour l’archipel, mettant en lumière sa capacité d’accueil, son dynamisme nautique, et la ferveur de sa population. C’est aussi une source d’inspiration pour toute une génération de jeunes guadeloupéens qui rêvent de grand large et d’exploits océaniques.

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© Alexis Courcoux

Naviguer entre les îles de Guadeloupe, c’est bien plus que voguer d’une escale à l’autre. C’est s’offrir un voyage où chaque île révèle sa personnalité, entre nature luxuriante, traditions vibrantes et rencontres sincères. C’est aussi prendre le temps : celui d’inscrire son itinéraire dans la découverte attentive, dans le respect de l’environnement et des habitants. Pour accompagner chaque étape de cette découverte, l’application Hello Guadeloupe s’impose comme l’outil indispensable du voyageur : itinéraires, escales, bons plans, conseils pratiques et engagements écoresponsables y sont réunis pour vivre pleinement l’expérience des îles de Guadeloupe, en toute liberté et en toute conscience.

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Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau est l’atout voyage et évasion de l’équipe, elle est passionnée de croisières et de destinations nautiques. En charge du planning rédactionnel du site figaronautisme.com et des réseaux sociaux, Nathalie suit de très près l’actualité et rédige chaque jour des news et des articles pour nous dépayser et nous faire rêver aux quatre coins du monde. Avide de découvertes, vous la croiserez sur tous les salons nautiques et de voyages en quête de nouveaux sujets.
Gilles Chiorri
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Gilles Chiorri
Associant une formation d’officier C1 de la marine marchande et un MBA d’HEC, Gilles Chiorri a sillonné tous les océans lors de nombreuses courses au large ou records, dont une victoire à la Mini Transat, détenteur du Trophée Jules Verne en 2002 à bord d’Orange, et une 2ème place à La Solitaire du Figaro la même année. Il a ensuite contribué à l’organisation de nombreux évènements, comme la Coupe de l’America, les Extreme Sailing Series et des courses océaniques dont la Route du Rhum et la Solitaire du Figaro (directeur de course), la Volvo Ocean Race (team manager). Sa connaissance du monde maritime et son réseau à l’international lui donnent une bonne compréhension du milieu qui nous passionne.
Il collabore avec les équipes de METEO CONSULT et Figaro Nautisme depuis plus de 20 ans.
Sophie Savant-Ros
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Sophie Savant-Ros
Sophie Savant-Ros, architecte de formation et co-fondatrice de METEO CONSULT est entre autres, directrice de l’édition des « Bloc Marine » et du site Figaronautisme.com.
Sophie est passionnée de photographie, elle ne se déplace jamais sans son appareil photo et privilégie les photos de paysages marins. Elle a publié deux ouvrages consacrés à l’Ile de Porquerolles et photographie les côtes pour enrichir les « Guides Escales » de Figaro Nautisme.
Albert Brel
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Albert Brel, parallèlement à une carrière au CNRS, s’est toujours intéressé à l’équipement nautique. Depuis de nombreuses années, il collabore à des revues nautiques européennes dans lesquelles il écrit des articles techniques et rend compte des comparatifs effectués sur les divers équipements. De plus, il est l’auteur de nombreux ouvrages spécialisés qui vont de la cartographie électronique aux bateaux d’occasion et qui décrivent non seulement l’évolution des technologies, mais proposent aussi des solutions pour les mettre en application à bord des bateaux.
Jean-Christophe Guillaumin
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Jean-Christophe Guillaumin
Journaliste, photographe et auteur spécialisé dans le nautisme et l’environnement, Jean-Christophe Guillaumin est passionné de voyages et de bateaux. Il a réussi à faire matcher ses passions en découvrant le monde en bateau et en le faisant découvrir à ses lecteurs. De ses nombreuses navigations il a ramené une certitude : les océans offrent un terrain de jeu fabuleux mais aussi très fragile et aujourd’hui en danger. Fort d’une carrière riche en reportages et articles techniques, il a su se distinguer par sa capacité à vulgariser des sujets complexes tout en offrant une expertise pointue. À travers ses contributions régulières à Figaro Nautisme, il éclaire les plaisanciers, amateurs ou aguerris, sur les dernières tendances, innovations technologiques, et défis liés à la navigation. Que ce soit pour analyser les performances d’un voilier, explorer l’histoire ou décortiquer les subtilités de la course au large, il aborde chaque sujet avec le souci du détail et un regard expert.
Charlotte Lacroix
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Charlotte est une véritable globe-trotteuse ! Très jeune, elle a vécu aux quatre coins du monde et a pris goût à la découverte du monde et à l'évasion. Tantôt à pied, en kayak, en paddle, à voile ou à moteur, elle aime partir à la découverte de paradis méconnus. Elle collabore avec Figaro Nautisme au fil de l'eau et de ses coups de cœur.
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Max est tombé dedans quand il était petit ! Il a beaucoup navigué avec ses parents, aussi bien en voilier qu'en bateau moteur le long des côtes européennes mais pas que ! Avec quelques transatlantiques à son actif, il se passionne pour le monde du nautisme sous toutes ses formes. Il aime analyser le monde qui l'entoure et collabore avec Figaro Nautisme régulièrement.
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Naviguant depuis son plus jeune âge que ce soit en croisière, en course, au large, en régate, des deux côtés de l’Atlantique, en Manche comme en Méditerranée, Denis, quittant la radiologie rochelaise en 2017, a effectué avec sa femme à bord de PretAixte leur 42 pieds une circumnavigation par Panama et Cape Town. Il ne lui déplait pas non plus de naviguer dans le temps avec une prédilection pour la marine d’Empire, celle de Trafalgar …
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Après une carrière internationale d’ingénieur, Michel Ulrich navigue maintenant en plaisance sur son TARGA 35+ le long de la côte atlantique. Par ailleurs, il ne rate pas une occasion d’embarquer sur des navires de charge, de travail ou de services maritimes. Il nous fait partager des expériences d’expédition maritime hors du commun.
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Titulaire d'un doctorat en Climatologie-Environnement, Cyrille est notre expert METEO CONSULT. Après avoir enseigné la climatologie et la géographie à l'université, il devient l'un des météorologues historiques de La Chaîne Météo en intégrant l'équipe en 2000. Spécialiste de la météo marine, il intervient également en tant qu'expert météo marine pour des courses de renommée mondiale, comme la Route du Rhum, la Solitaire du Figaro, la Transat Paprec...