Les Carnets de PretAixte - chapitre 5 : Mouilles !... première partie

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Si vous rêvez de mouillages idylliques, sans marnage, sous le vent de la plage, par cinq mètres d’eau, fond de sable, alizées caressants agitant les palmes des cocotiers que vient lécher l’eau turquoise dans laquelle, tout à l’heure, vous vous baignerez. Alors, restez aux Antilles !

Chatham bay, Union Island, Antilles : le mouillage idéal. Faut pas rêver ! ©Denis Chabassière
Si vous rêvez de mouillages idylliques, sans marnage, sous le vent de la plage, par cinq mètres d’eau, fond de sable, alizées caressants agitant les palmes des cocotiers que vient lécher l’eau turquoise dans laquelle, tout à l’heure, vous vous baignerez. Alors, restez aux Antilles !

Par ce que, déjà, dès les San Blas en mer Caraïbe, et jusqu’aux îles Cocos dans l’Océan Indien, vous ne rencontrerez jamais ce genre de conditions. Et puis après Cocos sur la route vers l’Ouest et pour plus de huit mille milles avant d’atterrir à Grenade vous n’aurez que peu d’occasion d’annoncer : Mouilles !...

Par ailleurs si, dans nos navigations européennes, il est loisible à l’annonce d’un coup de vent, de venir s’abriter dans un port, il n’y a pas ce genre de facilité lors d’une circumnavigation. Le Pacifique c’est grand : seulement trois sites de marinas entre Panama et l’Australie : Tahiti, Fiji, Vanuatu !

Pendant ce tour du monde tropical, au mouillage aussi, il va falloir être autonome et prêt à lutter !

1) Les mouillages qui vous attendent, ce n’est pas ce que vous pensez

Ils sont beaucoup moins sûrs et confortables que ceux d’Union, des Vierges, de Marie-Galante, ou de l’incomparable baie de St-Anne en Martinique. Voici pourquoi.

Tout d’abord la hauteur d’eau : rarement en dessous de 10 mètres, une fois dépucelé avec quelques mouillages aventureux, on osera même lancer la pioche par 20 mètres de fond si le vent le permet…

Ensuite le fond : rocaille et corail. Aux Marquises il n’y a pas ou peu de sable, que du caillou rugueux et rouleur ; pour le reste des San Blas à Cocos Island ce sera dans le corail n’en déplaise à votre sensibilité écologique.

Au Fidji, la cartographie est aléatoire, par chance l’eau est très claire, aussi une reconnaissance en plongée ou en annexe de votre rayon d’évitage est une nécessité, y’a des surprises ! A Bay of Island, splendide mouillage des Fidji Est, Friedrich nous aborde en annexe venant de Lunatix son XP50 mouillé à une cinquantaine de mètre de PretAixte. « Denis entre nos deux bateaux il y a un pâté de corail sur lequel j’ai pied … ».

Sur la carte il est annoncé à moins 3 mètres !!!

 

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Bay of Island, Fiji. Etes-vous bien sûr qu'il y a assez d'eau sous votre quille dans ce mouillage paradisiaque ? © Denis Chabassière

Dans le Pacifique Sud, pendant l’hiver austral, l’Alysée n’a pas la régularité de son compère antillais : le piège classique est le coup de Maramu qui survient dans le lagon de l’atoll en avril ou en mai. Vous étiez tranquilles à 100 mètres de la plage de Rotoava dans le lagon de Fakarava aux Tuamotu, protégé d’un délicat vent de Suet, quand soudainement ça fraichit de Noroit, le front passe et le vent bascule au Suroit en se renforçant.  Le fetch est de 30 milles, le mouillage paisible se transforme vite en enfer.

En effet ce Suroit, le fameux Maramu, dans ces îles paradisiaques ne rigole pas, c’est aussi brutal et fort qu’un coup de Mistral : en 2020 deux voiliers se sont retrouvés à la côte à Rotoava justement.

A Raiatea dans les îles sous le vent nous avons fait, plusieurs fois le tour du pâté… de Corail, entre vent changeant et courant renversant. Nous ne pensions pas pouvoir récupérer le mouillage dans son intégralité après avoir entendu, toute la nuit, la chaîne s’enrouler dans la patate. Mais sous la protection de Hiro, Dieu polynésien des navigateurs, des pêcheurs… et des voleurs, tout a été remonté à bord sans encombre.

Certes la protection des Dieux est utile, mais la mathématique et la physique ce n’est pas mal non plus. Alors même si vous êtes un habitué des mouillages Sardes ou Grecs, des renverses de courant à Bréhat ou dans le Sound de Chausey, des églises baroques de Sicile ou des enclos paroissiaux bretons, voici une invitation à revenir à la théorie physique du mouillage avant que de laisser tomber votre ancre à Huahiné ou de visiter les dieux polynésiens que sont les Tikis du Maraé de Hiva Hoa.

2) Théorie du mouillage : un vrai cours de pratique...

Pratique des mouillages de l’Atlantique Nnrd-est (comme est identifié le poisson chez votre poissonnier), mais aussi nord-ouest, méditerranéens, antillais et même seychellois. Cela ne m’empêche pas de suivre depuis des décennies les études hexagonales et anglophones sur le sujet, de constater les progrès et de les adapter à nos navigations en bousculant les mythes tenaces, ni de me rappeler le fameux problème de « la chainette », un classique du Baccalauréat scientifique des trente glorieuses. Alors quitte à faire de la peine à ceux qui, comme moi en mes vertes années, adorateurs du « Cours de navigation des Glénans » Tome II publié en 1962, avaient érigé en dogme « TROIS FOIS LA HAUTEUR D’EAU », pour connaître la longueur de mouillage à laisser filer et la résistance de notre ligne de mouillage. Offrons-nous cette révolution Copernicienne.

Et laissons la parole à Allain Fraysse (http://alain.fraysse.free.fr/sail/sailfr.htm) :

« Il y a beaucoup de folklore autour du choix des équipements de mouillage d'un bateau de plaisance, ainsi que sur la meilleure façon de les mettre en œuvre. Comme pour la danse ou la musique, ce folklore varie sensiblement d'un pays à l'autre. Des marins expérimentés vont jusqu'à dire que mouiller est un art plutôt qu'une science, où la chance prend une grande part. Est-ce une raison pour abandonner tout espoir de solutions rationnelles ? Après tout, les lois physiques qui gouvernent le comportement d'une ligne de mouillage (chaîne, textile ou mixte) n'ont rien de paranormal ! Bien au contraire, elles sont très simples et faciles à simuler avec un ordinateur personnel, comme le démontrent les 5 feuilles de calcul suivantes : » Tout cela est dit et bien dit et corrobore les études françaises, anglaises et américaines précitées. Allez donc sur ce site, remplissez les feuilles Excell et la lumière viendra.

Si on souhaite aller encore plus loin sur les problèmes d’amortissement du mouillage, passons cette fois ci de Copernic à Planck et plongeons nous dans les calculs de deux autres auteurs.

Pierre Lang (www.thoe.be). On peut conseiller utilement de charger sur internet pour une modique somme son ouvrage « Mouillage : techniques avancées ». En plus de théorie, Pierre Lang profite de ses expériences de mouillage dans des conditions extrêmes pour améliorer nos connaissances et son matériel.

Et surtout Frederic Dallest (http://artimon1.free.fr/), se rendre à la page « dossier technique ». « Artimon » a pour sa part, complété le tableur d’Alain Fraysse, c’est long, sophistiqué, mais remarquablement bien fait, exhaustif, et enrichi de l’expérience de forts coups de vent au mouillage dans le grand sud à bord de Balthazar

Prenez le temps d’étudier ces trois auteurs, c’est vraiment riche d’enseignement.

Voici cependant un court et très imparfait « digest » de ces études puis leurs applications pratiques, pour vous aider comme nous l’avons fait avant de partir avec PretAixte, à dimensionner les différents composants de votre mouillage.

Mais avant toute chose : il est indispensable de connaître le milieu naturel du mouillage de circumnavigation.

3) Les paramètres naturels

3.1 Nature du fond.

On l’a dit, hormis aux Marquises, ce sera essentiellement du sable avec du corail, pas ou peu d’algue ni de vase sauf en baie d’Haamene à Tahaa. Le but sera de choisir un îlot de sable ou planter l’ancre, ce n’est pas si difficile : l’eau est claire ! Donc à priori la tenue de l’ancre pourra être considérée comme moyenne à bonne.

Un Bémol cependant, en raison de la nature agressive du fond il faut absolument que la ligne en contact avec le sol soit toujours en métal et non en textile.

3.2 Le Vent

Le problème majeur qu’il nous pose est celui du fardage.

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© Plastimo

Le tableau de fardage proposé par Plastimo est très proche des calculs théoriques de l’ABYC (American Boat and Yacht Council).

Ces modèles semblent largement surestimer les forces, jusque 3 fois d’après les calculs d’Alain Fraysse.

Alain Fraysse trouve des valeurs de contraintes inférieures à ce tableau quand le voilier est face au vent et s’en rapprochant dés que le vent  fait un angle de 30° lors des variations de direction.

Par comparaison pour un bateau de 12 mètres et 45 nœuds de vent l’ABYC donne 1 115 kg

Et le tableur d’Alain Fraysse pour un bateau de 12 mètres et 50 nœuds de vent entre 460kg et 937 kg à 30° du vent.

Nonobstant le fait que les vitesses de vent sont données à une altitude de 10 mètres et que l’anémomètre d’un bateau de 13 mètres se trouve à près de 20 mètres de la surface, on peut considérer ce tableau Plastimo réaliste pour un vent à vitesse constante et incidence jusque 30°. Nous savons tous cependant que le vent n’a pas la régularité du tableau Plastimo. Il faut prendre en compte les rafales.

3.3 Les Rafales, oui mais jusqu’où ?

Les bulletins météo annoncent « que les rafales peuvent dépasser de 40% le vent moyen », dans cette hypothèse:

À force 7 le vent moyen est de 31 nœuds et la rafale maxima à 45 nœuds

À force 8 le vent moyen est de 37 nœuds et la rafale maxima à 55 nœuds.

Durant le tour du monde le vent le plus fort que nous ayons eu à subir était au prés, sous le cap Trafalgar constamment au-dessus de 35 nœuds qui nous a contraint avec cinq cargos à mettre à la cape durant quatre heures.  Nous ne rencontrerons pas, par la suite, beaucoup de grains au-dessus de 35/40 nœuds. Cependant dans le coup de Maramu que nous avons contourné en route vers les Tonga, les bateaux du WARC qui l’ont abordé de plein fouet ont décrit des rafales à 50 nœuds.

Le mouillage le plus exposé que nous avons connu était à Tahaa par 25 à 28 nœuds dans les rafales, seule la barrière de corail nous séparait du Pacifique. Nous n’avons pas dérapé dans 12 mètres d’eau mais le corail a été trop amoureux de notre bouée d’orin qui y a laissé son intégrité.

Le mouillage le plus inconfortable était dans la somptueuse baie des vierges à Fatu Hiva, un incontournable de la circumnavigation. Nous avons remouillé cinq fois par 18 mètres de fond, sous les revolins qui dégringolaient de la vallée à guère plus de 25 à 30 nœuds, et même organisé des quarts de mouillage la nuit….

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Fatu hiva , la baie des vierges in : ?Welcome tahiti?

On peut considérer que le choix de Frederic Dallest (http://artimon1.free.fr/), qui intègre des rafales à 50%, et choisit de dimensionner la ligne de mouillage pour un vent de 36 à 54 nœuds « par fond de bonne tenue en eaux abritées » apparait réaliste pour notre programme qui traverse les régions tropicales en dehors des saisons cycloniques.

Le tableur de Balthazar ne se contente pas de calculer le fardage pour une vitesse de vent déterminée, il introduit aussi une donnée qui prend en compte non seulement la variation de direction du vent lors de la rafale mais aussi la vitesse de survente.

Pour un bateau de 12 mètres et 45 nœuds de vent, rafales à 60noeuds promet 1 080 kg 

On peut donc considérer, avec une surestimation assurant une marge de sécurité satisfaisante, le tableau « Plastimo » comme une base fiable pour calculer les efforts sur la ligne de mouillage, y compris les épisodes d’évitage du bateau jusque 30° du lit du vent et les rafales à + 40% du vent établi lu par l’anémomètre.

Ce serait une erreur grossière de se contenter de ce tableau en comparant la CMU (charge maximale utile) des différents constituants de votre ligne de mouillage et en vous rassurant car ils sont tous largement au-dessus des forces de fardage. Ces données sont statiques et sont loin de représenter la réalité.

C’est tout le mérite d’Alain Fraysse et de ses continuateurs de nous intéresser à la DYNAMIQUE DE LA RAFALE.

De revenir à la théorie pour se rapprocher du réel. La vraie vie quoi, on peut s’attendre à des surprises !

3.4 Les rafales toujours : les efforts réellement induits sur le matériel.

En jouant sur les paramètres des tableurs précités une évidence se fait jour.

Prenons le plus « simple » (!!!) : à savoir celui d’Alain Fraysse et simulons :

Pour un bateau de 13 mètres et 45 nœuds de vent établi rafales à 60, voici les tensions sur la ligne de mouillage :

Tension statique : 429 Kg

Surtension statique avec ligne mixte : 944 Kg.

Surtension dynamique avec toute la ligne en chaîne : 2 146 Kg.

Les rafales sollicitent la ligne et induisent : aussi bien par les mouvements latéraux du bateau un fardage supplémentaire, une surtension dans l’axe de la ligne JUSQUE CINQ FOIS LA VALEUR DE BASE.

Très grossièrement quand la ligne de chaîne est tendue, sa faible élasticité est responsables d’à-coups dans les rafales qui augment l’angle de la chaîne avec le fond et favorisent le dérapage de l’ancre ou provoquent un dépassement de la CMU ou la rupture d’un constituant de la ligne de mouillage. Pierre Lang a essuyé au mouillage des vents de 60 nœuds sur son Thoe de 13 mètres. L’élasticité de la ligne il connait aussi !  Comme il l’écrit avec justesse : « C’est la deuxième rafale qui fait déraper le mouillage ».

Vous allez rapidement en déduire, et cela est vrai : quune ligne associant chaîne et textile subit et transmet deux fois moins d’effort qu’une chaine seule. Mais cette constatation reste encore très incomplète pour choisir notre mouillage principal.

3.5 La mer et le courant

Un mouillage exposé à la houle ou à la mer réduit d’autant plus la tenue de la ligne, c’est une évidence. Il en est de même du courant. Trois nœuds de courant tirent autant sur le mouillage que 15 nœuds de vent. Dans la baie de Cook à Moorea, le joli mouillage est à gauche en entrant, étroit il est d’une pureté absolue. Ce n’est pas « La chambre » le beau mouillage de Bréhat mais du courant il y en a, et pas mal, et les renverses qui vont avec, et les grains qui passent aussi chamboulant le plan d’eau, les bretons ne seront pas dépaysés, quoi que…

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La Baie des Vierges à Fatu Hiva aux Marquises est un redoutable test de mouillage. Les rafales dégringolent de ces somptueux à-pics.

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Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
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Nathalie Moreau est l’atout voyage et évasion de l’équipe, elle est passionnée de croisières et de destinations nautiques. En charge du planning rédactionnel du site figaronautisme.com et des réseaux sociaux, Nathalie suit de très près l’actualité et rédige chaque jour des news et des articles pour nous dépayser et nous faire rêver aux quatre coins du monde. Avide de découvertes, vous la croiserez sur tous les salons nautiques et de voyages en quête de nouveaux sujets.
Gilles Chiorri
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Associant une formation d’officier C1 de la marine marchande et un MBA d’HEC, Gilles Chiorri a sillonné tous les océans lors de nombreuses courses au large ou records, dont une victoire à la Mini Transat, détenteur du Trophée Jules Verne en 2002 à bord d’Orange, et une 2ème place à La Solitaire du Figaro la même année. Il a ensuite contribué à l’organisation de nombreux évènements, comme la Coupe de l’America, les Extreme Sailing Series et des courses océaniques dont la Route du Rhum et la Solitaire du Figaro (directeur de course), la Volvo Ocean Race (team manager). Sa connaissance du monde maritime et son réseau à l’international lui donnent une bonne compréhension du milieu qui nous passionne.
Il collabore avec les équipes de METEO CONSULT et Figaro Nautisme depuis plus de 20 ans.
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Sophie Savant-Ros, architecte de formation et co-fondatrice de METEO CONSULT est entre autres, directrice de l’édition des « Bloc Marine » et du site Figaronautisme.com.
Sophie est passionnée de photographie, elle ne se déplace jamais sans son appareil photo et privilégie les photos de paysages marins. Elle a publié deux ouvrages consacrés à l’Ile de Porquerolles et photographie les côtes pour enrichir les « Guides Escales » de Figaro Nautisme.
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Albert Brel, parallèlement à une carrière au CNRS, s’est toujours intéressé à l’équipement nautique. Depuis de nombreuses années, il collabore à des revues nautiques européennes dans lesquelles il écrit des articles techniques et rend compte des comparatifs effectués sur les divers équipements. De plus, il est l’auteur de nombreux ouvrages spécialisés qui vont de la cartographie électronique aux bateaux d’occasion et qui décrivent non seulement l’évolution des technologies, mais proposent aussi des solutions pour les mettre en application à bord des bateaux.
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Journaliste, photographe et auteur spécialisé dans le nautisme et l’environnement, Jean-Christophe Guillaumin est passionné de voyages et de bateaux. Il a réussi à faire matcher ses passions en découvrant le monde en bateau et en le faisant découvrir à ses lecteurs. De ses nombreuses navigations il a ramené une certitude : les océans offrent un terrain de jeu fabuleux mais aussi très fragile et aujourd’hui en danger. Fort d’une carrière riche en reportages et articles techniques, il a su se distinguer par sa capacité à vulgariser des sujets complexes tout en offrant une expertise pointue. À travers ses contributions régulières à Figaro Nautisme, il éclaire les plaisanciers, amateurs ou aguerris, sur les dernières tendances, innovations technologiques, et défis liés à la navigation. Que ce soit pour analyser les performances d’un voilier, explorer l’histoire ou décortiquer les subtilités de la course au large, il aborde chaque sujet avec le souci du détail et un regard expert.
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Après une carrière internationale d’ingénieur, Michel Ulrich navigue maintenant en plaisance sur son TARGA 35+ le long de la côte atlantique. Par ailleurs, il ne rate pas une occasion d’embarquer sur des navires de charge, de travail ou de services maritimes. Il nous fait partager des expériences d’expédition maritime hors du commun.
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