Tous nos conseils pour l'hivernage de votre bateau

Equipements

Après la saison estivale, l’hivernage est un point important si on veut retrouver son bateau en bon état de fonctionnement après quelques mois d’inactivité. L’air salin et l’eau de mer continuent à agir. L’eau s’évapore et le sel s’incruste sournoisement aussi bien dans les circuits électroniques, la motorisation que dans les équipements, etc.

En premier, sur un voilier, les voiles seront enlevées et vérifiées afin de contrôler s'il y a des points à revoir : couture, bande UV, petite déchirure. ©Albert Brel
Après la saison estivale, l’hivernage est un point important si on veut retrouver son bateau en bon état de fonctionnement après quelques mois d’inactivité. L’air salin et l’eau de mer continuent à agir. L’eau s’évapore et le sel s’incruste sournoisement aussi bien dans les circuits électroniques, la motorisation que dans les équipements, etc.

L’intérieur du bateau

Inutile de laisser à bord ce qui peut être débarqué et stocké à terre.

Les vêtements

Tous les vêtements y compris les vestes de quart et les cirés ont tendance à prendre l’humidité. Il est impératif de les laver à l’eau douce et de bien insister sur les fermetures éclairs. Une fermeture dans laquelle il reste du sel a peu de chance de fonctionner après un hivernage. Ne laisser à bord qu’un minimum de vêtements, par exemple, ceux spécifiques marines (cirés, vestes de quart, bottes, chaussures, etc.). Les autres vêtements ont tendance à absorber l’humidité de l’air, il est préférable de les ranger à terre.

Il ne faut pas oublier les équipements de sécurité (gilets, harnais) un bon rinçage à l’eau douce leur est bénéfique. On en profitera pour vérifier le fonctionnement des boucles et des mousquetons. Mais, attention, il ne faut pas rincer les gilets automatiques au risque de les voir se gonfler. Un nettoyage avec une éponge est suffisant.

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Il ne faut pas oublier les équipements de sécurité (gilets, harnais) un bon rinçage à l'eau douce leur est bénéfique.© Albert Brel

Les documents

Les documents papier ont tendance à absorber l’humidité, il est souhaitable de les débarquer pendant l’hivernage. S’ils restent à bord, ranger-les verticalement dans un endroit sec en ayant pris la précaution avant, de les exposer au soleil pour éliminer le maximum d’humidité.

Le coin cuisine

La cuisinière doit être parfaitement nettoyée y compris le four. A cet effet, il existe des produits spécifiques. Les robinets seront, après nettoyage, légèrement graissés pour éviter qu’ils se grippent. On en profitera pour vérifier la date de péremption du tuyau de gaz. Tous les ustensiles de cuisine seront lavés et examinés. Si certains présentent des traces de rouille, inutile de les remettre à bord.

Le réfrigérateur, dans un premier temps, doit être débranché, vidé complètement et son bouchon de vidange ouvert, puis on le laisse dégivrer de lui-même. Une fois dégivré, il faut le laver à l’eau tiède additionnée de vinaigre. Pendant l’hivernage, il est bon de laisser sa porte ouverte.

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Le réfrigérateur, dans un premier temps, doit être débranché, vidé complètement et son bouchon de vidange ouvert, puis on le laisse dégivrer de lui-même. © Albert Brel

La paillasse sera lavée de même que les éviers. Pour nettoyer les tuyaux d’évacuation de l’évier, on ferme les vannes et on met de l’eau chaude additionnée de javel et on laisse séjourner cette eau au minimum une heure. Ensuite, on ouvre les vannes et on fait couler de l’eau douce pour bien les rincer. Si vous êtes équipé d’une pompe à eau de mer sur l’évier, fermer la vanne, déconnecter le tuyau pour le vider de son eau, puis le remettre en place en vérifiant l’état du collier. Cette précaution évite à de l’eau de mer de pourrir en dégageant une odeur désagréable.

Les fonds du bateau

Les fonds sont le point le plus bas du bateau et, de ce fait, récupèrent nécessairement de l’eau et les saletés (sable, miettes…). Sur la majorité des bateaux, les planchers sont amovibles ou simplement retenus par des vis ou des taquets. N’hésitez pas à les enlever pour vérifier tous les fonds. Il faut les nettoyer avec de l’eau chaude et de la lessive et les écoper. Si des tâches de moisissure persistent, vous pouvez les éliminer en utilisant un produit anti-moisissure. Rincer à l’eau douce et laisser sécher avant de remettre les planchers.

On profitera que les fonds soient accessibles pour retirer les capteurs du loch-speedo et du sondeur. Ceux-ci seront nettoyés avec une brosse dure pour enlever les coquillages et algues qui peuvent être collés. Les joints des sondes seront enduits de graisse silicone pour éviter qu’ils ne se dessèchent pendant l’hivernage. Si votre bateau hiverne à terre, ôter les sondes (sondeur, loch) et ouvrir toutes les vannes, les orifices permettent une circulation d’air.

Les coffres et les équipets

Tous les coffres subiront le même traitement que les fonds du bateau. Si vous en avez la possibilité, laisser les coffres et les équipets ouverts, la circulation de l’air évite les moisissures et les mauvaises odeurs. Vous pouvez également utiliser des déshumidificateurs ; ils seront efficaces si vous les mettez dans des endroits confinés (coffres, penderies, etc.).

Les vivres

Il est évident que les vivres périssables doivent être retirés du bateau. Pour les conserves, on vérifiera les dates de péremption, inutile de laisser à bord celles qui seront périmées à la prochaine saison. Les boîtes de conserve ont tendance à rouiller si elles ont été exposées à l’eau de mer. Si vous remarquez des points de rouille sur certaines inutiles de les laisser à bord. Si les étiquettes sont en papier, elles ont tendance à se décoller et on ne saura plus si on a à faire à une boite de sardines ou de pâté voire à de la nourriture pour le chien. La solution est d’inscrire sur la boîte, au crayon feutre indélébile, le contenu si l’étiquette tombe cela ne créera pas de mauvaises surprises.

Les réserves d’eau

Si vos réserves d’eau possèdent une trappe de visite, n’hésitez pas à vider complètement les vaches et à nettoyer l’intérieur. Deux solutions, vous les laisser vides pendant l’hivernage ou, dans les régions où il n’y a pas de risque de gel, vous les remplissez avec une eau propre en prenant soin d’y mettre un produit qui traite l’eau et évite le développement des bactéries. Lorsque vous avez traité l’eau, laissez-la couler quelques minutes pour la faire circuler dans les tuyaux, la pompe et les robinets. A la reprise du bateau, il est conseillé de vider les réserves et de les re-remplir.

Les toilettes

Les toilettes et le tuyau d’évacuation ont tendance à s’entartrer. La première intervention à faire est de rincer abondamment les toilettes avec de l’eau douce et de l’évacuer avec la pompe. Pour éliminer le tartre, rien ne vaut le vinaigre blanc chaud. Il suffit d’en mettre dans la cuvette et de laisser agir environ 30 minutes, le tartre tombe de lui-même. Après un bon rinçage à l’eau douce, lubrifiez le mécanisme de la pompe et les joints, avec une huile spéciale pour W-C.

Les coussins et couchettes

En premier, ils seront sortis du bateau et exposés au soleil. Sur les revêtements type Skaï ou vinyles, dans la majorité des cas, un bon nettoyage avec une éponge suffit. Si des taches persistent, il existe des produits spécifiques qui permettent de les enlever.

Pour les tissus et les revêtements synthétiques divers, utiliser un nettoyant anti-moisissures et terminer par un rinçage à l’eau douce. Pour l’hivernage, si les coussins et couchettes restent à bord, il est conseillé de les mettre sur champ.

Les vannes et les tuyaux

Toutes les vannes seront vérifiées. Si vous constatez que des vannes fonctionnent mal, faites-les changer avant l’hivernage. Il en sera de même de tous les tuyaux d’évacuation. On a vu des bateaux coulés pendant l’hivernage simplement parce qu’une vanne fermait mal ou qu’un tuyau d’évacuation fuyait. Quelques gouttes par minute font des quantités importantes au bout ne serait-ce que d’un mois.

L’électricité

Il est bon de regarder que tous les éclairages et prises fonctionnent. Si une ampoule est défectueuse, un fusible grillé, il est plus simple de le changer avant l’hivernage qu’à la reprise du bateau. Vous en profiterez pour vérifier les contacts qui ont pu se desserrer voire s’oxyder pendant la saison. Si une cosse est oxydée, n’hésitez pas, changez-la avant qu’elle ne contamine les autres cosses placées à proximité.

L'hivernage de l'électronique

L’électronique même marine n’aime pas l’humidité. Bien entendu, il est hors de question de démonter la centrale de navigation, le pilote in-bord et encore moins les gros appareillages comme le radar. En revanche, le petit appareillage mobile tel que le GPS portable, le poste de radio, le micro-ordinateur voire la télévision, devra être hiverné à terre dans un endroit sec. L’idéal est de les faire fonctionner de temps en temps. Si vous ne pouvez pas le faire, il est impératif, s’ils possèdent des piles ou des accus de les retirer et de bien nettoyer les contacts. Les accus devront être placés dans un endroit sec complètement déchargés.

Pour les équipements qui restent à bord, on prendra soin de nettoyer avec un chiffon imbibé d’eau douce tous les écrans des afficheurs. La connectique sera dévissée, nettoyée avec un produit spécial contact puis remise en place à l’exception des antennes. Les antennes (VHF, radio, radar, communications, etc.) doivent être débranchées des appareils pour éviter qu’elles ne servent de paratonnerre et l’appareil de fusible.

Sur les parties métalliques mobiles telles que les oreilles de fixation, on prendra soin, après nettoyage, de mettre un peu de graisse aux silicones sur les pas de vis.

Le pilote de cockpit fait partie de l’équipement qui peut rester à bord entreposé dans un endroit sec, l’idéal étant de le remettre dans sa boîte d’origine. Quel que soit le mode d’hivernage, il est impératif sur les pilotes linéaires de nettoyer le vérin avec de l’eau pour ôter le sel puis de l’enduire d’une fine couche de graisse aux silicones. Cette graisse protège non seulement le vérin mais aussi les joints d’étanchéité. Sur les pilotes in-bord à vérin linéaire, on procédera de même pour le vérin.

Il est inutile pendant l’hivernage de laisser en place l’aérien de l’anémo-girouette, il tourne pour rien et ses roulements s’usent inutilement. Il sera démonté et son connecteur en tête de mât, recouvert de son bouchon.

Tous les cadrans extérieurs après nettoyage seront recouverts de leurs couvercles de protection. A noter que la majorité des cadrans non étanches à l’immersion, ont, pour éviter la condensation interne, un petit trou dans leurs parties inférieures. Avec un petit fil, il faut vérifier qu’il n’est pas obstrué.

Les batteries

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Tous les robinets de batteries doivent être sur off.© Albert Brel

Les nouvelles générations de batteries ont un taux d’autodécharge très faible. On l’estime à 1 ou 2% par mois ce qui signifie qu’une batterie de 100 Ah perd 2 Ah par mois au maximum soit sur une durée de plusieurs mois une quantité négligeable.

La solution qui convient le mieux pour l’hivernage des batteries modernes et qui impose un minimum de contraintes, est de les laisser à bord à condition de respecter les trois points suivants :

- Avant de quitter le bateau, recharger les batteries et s'assurer que la recharge est complète.

- Une fois les batteries rechargées et vérifiées, il faut nettoyer les cosses et les connections et les enduire de graisse aux silicones pour éviter l'oxydation.

- Si votre installation est équipée de coupe-batteries bipolaires ce qui est maintenant réglementaire, vous pouvez remettre les cosses en place. Cette solution permet de toujours avoir un bateau opérationnel en cas d'urgence, par exemple, démarrer le moteur ou encore utiliser une pompe de cale.

Si vous n'avez que des coupe-batteries unipolaires (ne coupant que la ligne positive ou négative), il est conseiller pour éviter toute fuite électrique qui accentue la décharge et favorise l'électrolyse, de débrancher les cosses.

Si on respecte ces procédures, on retrouve les batteries déchargées entre 10 et 20% de leur capacité après un hivernage de 6 à 8 mois selon la qualité de celles-ci. Au réarmement, la précaution à prendre est de les recharger avant utilisation.

Bien entendu, si vous passez régulièrement à votre bord, une recharge ne nuit pas.

Points spécifiques aux voiliers

Sur le pont :

- Les voiles

En premier, sur un voilier, les voiles seront enlevées et vérifiées afin de contrôler s’il y a des points à revoir : couture, bande UV, petite déchirure. Si c’est le cas, il est prudent de les amener chez le voilier. En arrière-saison et pendant l’hiver, ils sont moins débordés et peuvent sans problèmes effectuer les petits travaux. S’il n’y a aucune réparation à faire, l’idéal est de pouvoir les rincer à l’eau douce, de bien les laisser sécher et de les ranger dans leur sac.

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S'il n'y a aucune réparation à faire, l'idéal est de pouvoir les rincer à l'eau douce, de bien les laisser sécher et de les ranger dans leur sac.© Albert Brel

- Guindeau

Le rincer à l'eau douce, démonter le barbotin et éventuellement la poupée, ôter l'ancienne graisse avec un chiffon imbibé de pétrole, bien essuyer et mettre de la graisse spéciale marine avant de remonter.

Sur les modèles électriques, on prendra soin d'examiner les contacts et les commandes, en particulier, celles à pieds.

Sur certains modèles, il y a de l'huile qui doit être vidangée à intervalles réguliers, se reporter à la notice de votre guindeau.

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Rincer le guindeau à l'eau douce, démonter le barbotin et éventuellement la poupée, ôter l'ancienne graisse avec un chiffon imbibé de pétrole, bien essuyer et mettre de la graisse spéciale marine avant© Albert Brel

- Gréement dormant

Rincer abondamment le tambour de l’enrouleur, la gorge de la ralingue, les poulies, les chariots et les taquets coinceurs.

Les pas de vis des ridoirs seront nettoyés avec une brosse dure puis légèrement graissés. Eviter le ruban adhésif sur les pas de vis, il retient l’humidité et favorise la corrosion.

- Gréement courant

Les écoutes seront rincées à l’eau douce, jamais dans une machine à laver car le brassage a tendance à casser les fibres.

La partie des drisses extérieures au mât subira le même traitement.

Ecarter les drisses du mât pour éviter qu’elles abîment son anodisation et que le bruit ne gêne les voisins qui peuvent être à bord.

Les palans de grand-voile et de hale-bas seront, après nettoyage, rangés dans un coffre et remplacés par des cordages ou des palans sans valeurs. Il est inutile d’exposer des équipements onéreux aux intempéries de l’hiver.

- Les winches

Vous pouvez vous contenter, pour l’hivernage, de les rincer à l’eau douce et de vérifier qu’ils fonctionnent bien. Si vous constatez une anomalie ou un bruit anormal, il faut ôter la poupée, les nettoyer avec du pétrole, changer les ressorts et les cliquets et les graisser avec une huile spéciale winches.

L'équipe
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau
Nathalie Moreau est l’atout voyage et évasion de l’équipe, elle est passionnée de croisières et de destinations nautiques. En charge du planning rédactionnel du site figaronautisme.com et des réseaux sociaux, Nathalie suit de très près l’actualité et rédige chaque jour des news et des articles pour nous dépayser et nous faire rêver aux quatre coins du monde. Avide de découvertes, vous la croiserez sur tous les salons nautiques et de voyages en quête de nouveaux sujets.
Gilles Chiorri
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Gilles Chiorri
Associant une formation d’officier C1 de la marine marchande et un MBA d’HEC, Gilles Chiorri a sillonné tous les océans lors de nombreuses courses au large ou records, dont une victoire à la Mini Transat, détenteur du Trophée Jules Verne en 2002 à bord d’Orange, et une 2ème place à La Solitaire du Figaro la même année. Il a ensuite contribué à l’organisation de nombreux évènements, comme la Coupe de l’America, les Extreme Sailing Series et des courses océaniques dont la Route du Rhum et la Solitaire du Figaro (directeur de course), la Volvo Ocean Race (team manager). Sa connaissance du monde maritime et son réseau à l’international lui donnent une bonne compréhension du milieu qui nous passionne.
Il collabore avec les équipes de METEO CONSULT et Figaro Nautisme depuis plus de 20 ans.
Sophie Savant-Ros
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Sophie Savant-Ros, architecte de formation et co-fondatrice de METEO CONSULT est entre autres, directrice de l’édition des « Bloc Marine » et du site Figaronautisme.com.
Sophie est passionnée de photographie, elle ne se déplace jamais sans son appareil photo et privilégie les photos de paysages marins. Elle a publié deux ouvrages consacrés à l’Ile de Porquerolles et photographie les côtes pour enrichir les « Guides Escales » de Figaro Nautisme.
Albert Brel
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Albert Brel
Albert Brel, parallèlement à une carrière au CNRS, s’est toujours intéressé à l’équipement nautique. Depuis de nombreuses années, il collabore à des revues nautiques européennes dans lesquelles il écrit des articles techniques et rend compte des comparatifs effectués sur les divers équipements. De plus, il est l’auteur de nombreux ouvrages spécialisés qui vont de la cartographie électronique aux bateaux d’occasion et qui décrivent non seulement l’évolution des technologies, mais proposent aussi des solutions pour les mettre en application à bord des bateaux.
Jean-Christophe Guillaumin
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Journaliste, photographe et auteur spécialisé dans le nautisme et l’environnement, Jean-Christophe Guillaumin est passionné de voyages et de bateaux. Il a réussi à faire matcher ses passions en découvrant le monde en bateau et en le faisant découvrir à ses lecteurs. De ses nombreuses navigations il a ramené une certitude : les océans offrent un terrain de jeu fabuleux mais aussi très fragile et aujourd’hui en danger. Fort d’une carrière riche en reportages et articles techniques, il a su se distinguer par sa capacité à vulgariser des sujets complexes tout en offrant une expertise pointue. À travers ses contributions régulières à Figaro Nautisme, il éclaire les plaisanciers, amateurs ou aguerris, sur les dernières tendances, innovations technologiques, et défis liés à la navigation. Que ce soit pour analyser les performances d’un voilier, explorer l’histoire ou décortiquer les subtilités de la course au large, il aborde chaque sujet avec le souci du détail et un regard expert.
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Charlotte est une véritable globe-trotteuse ! Très jeune, elle a vécu aux quatre coins du monde et a pris goût à la découverte du monde et à l'évasion. Tantôt à pied, en kayak, en paddle, à voile ou à moteur, elle aime partir à la découverte de paradis méconnus. Elle collabore avec Figaro Nautisme au fil de l'eau et de ses coups de cœur.
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Max est tombé dedans quand il était petit ! Il a beaucoup navigué avec ses parents, aussi bien en voilier qu'en bateau moteur le long des côtes européennes mais pas que ! Avec quelques transatlantiques à son actif, il se passionne pour le monde du nautisme sous toutes ses formes. Il aime analyser le monde qui l'entoure et collabore avec Figaro Nautisme régulièrement.
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Naviguant depuis son plus jeune âge que ce soit en croisière, en course, au large, en régate, des deux côtés de l’Atlantique, en Manche comme en Méditerranée, Denis, quittant la radiologie rochelaise en 2017, a effectué avec sa femme à bord de PretAixte leur 42 pieds une circumnavigation par Panama et Cape Town. Il ne lui déplait pas non plus de naviguer dans le temps avec une prédilection pour la marine d’Empire, celle de Trafalgar …
Michel Ulrich
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Après une carrière internationale d’ingénieur, Michel Ulrich navigue maintenant en plaisance sur son TARGA 35+ le long de la côte atlantique. Par ailleurs, il ne rate pas une occasion d’embarquer sur des navires de charge, de travail ou de services maritimes. Il nous fait partager des expériences d’expédition maritime hors du commun.
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